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14:00
Descriptif de la sortie
100 ANS DE BLUES, DU MISSISSIPI A CHICAGO
Conférence musicalisée avec Christian Jacob, musicologue de blues et guitariste
Dans la souffrance de l'esclavage du Mississipi et la misère des ghettos de Chicago, les noirs ont écrit et chanté des œuvres intemporelles. Robert Johnson, ce génie "endiablé" pensait que son blues était une affaire personnelle entre son âme et ses cordes, BB King lui, avait compris 20 ans plus tard que cette musique était faite pour communiquer et danser...
Le meilleur moyen de faire passer le blues est de le jouer, faire entendre la fameuse "blue note" et ses 12 mesures rythmées à travers la guitare.
EN ATTENDANT :
Plein les yeux
Naissance d'un aigle botté au parc national des Cévennes
C’est un « heureux événement » à plus d’un titre: une naissance rare d’un oiseau qui l’est tout autant. Un jeune aigle botté (Hieraaetus pennatus) a pointé le bout de son bec ces derniers jours dans le Parc national des Cévennes, en Lozère (Occitanie).
Des habitants avaient remarqué la présence de deux aigles bottés dans la basse vallée de la Mimente, dans le sud du département, au printemps 2022. Et dans les semaines qui suivirent, des agents du parc confirmèrent cette arrivée. Ce qui était déjà une bonne nouvelle puisque le parc des Cévennes ne comptait jusqu’ici officiellement que trois couples de cette espèce.
Et le meilleur était à venir. Car l’attitude des oiseaux laissaient penser qu’une reproduction était en cours… Le printemps suivant, en 2023, quand ces oiseaux migrateurs revenaient sur le territoire, la présence du nouveau couple était confirmée à La Salle-Prunet.
Des parades d’intimidation du couple validaient l’hypothèse de la défense du territoire en vue d’une naissance. Et dans la foulée, un nid était découvert. Enfin, le 26juillet dernier, un jeune aiglon était repéré «déjà bien emplumé».
L’Aigle botté est le plus petit représentant des aigles français. Il n'est ainsi pas plus grand qu'une buse variable. On peut l'en distinguer grâce à sa queue longue et au bout de ses ailes plus larges.
Cette espèce doit son nom à ses tarses emplumés jusqu’aux doigts, rappelle le parc des Cévennes. Le tarse est la dernière partie de la patte de l'oiseau précédant le pied.
"On le reconnaît à son allure élancée, avec ses ailes, qui en vol plané sont légèrement abaissées en dessous du corps". "Il chasse régulièrement à haute altitude, environ 800 m. Il mange des oiseaux, petits ou moyens, des lézards et des micromammifères.
Alternant des vols glissés rapides et des vols en surplace plus lents, il est capable ensuite d’effectuer des piqués vertigineux pour atteindre ses proies parfois même jusque sous la canopée", note aussi le PNC.
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OuiEx: Pierre (+2)
30
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