
avec Bertrand Cochard
Comme le notait déjà Paul Valéry dans ses Regards sur le monde actuel (1945), tout s’accélère et « le temps du monde fini commence ».
À ce mouvement perpétuel, la philosophie peut et doit opposer des concepts qui démontrent la positivité du vide (contre le plein), la nécessité de l’oisiveté (contre l’affairement) et l’exigence du temps long (contre l’actualité et l’urgence).
Titre : Pourquoi tenons-nous tant à faire passer le temps? (2/2)
Descriptif : Après nos réflexions de la session précédente autour de « l’économie de l’attention », il s’agira ici, et pour terminer, de présenter des concepts philosophiques capables de rendre compte des difficultés que nous avons à faire face à l’ennui. Pascal et Günther Anders sont au programme.

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