étés par an

                                   EN DECEMBRE 

                    « Fade to Grey »   ...      à la Villa Henry     

      Florent Mattei : ouverture d'atelier à la Villa Henry  

                dimanche 15 de 13h à 19h                

 Florent Mattei déplace son atelier à la Villa Henry. Il montrera ses recherches les plus récentes, notamment la série « Fade to Grey » qui n’a encore jamais été exposée.

« Cette déclinaison de l’usage du fond photographique permet à Florent Mattei d’assurer à la fois la pérennité de l’espace de travail puisque transposable en tous lieux et en tout temps.

Le cadre devient ainsi intemporel, lieu de réflexion, de méditation, reflet des processus magiques intervenant au sein de la chambre photographique. » extrait du texte d’Alain Ramette, 2024

L’artiste nous invite à regarder, questionner, échanger autour de la place de l’artiste, du studio et du temps à l’œuvre mais aussi du temps de l’œuvre.

RESPECT CGU     

EN ATTENDANT INFO : 

 La recommandation lecture du jour :

Un ouvrage qui donne des clefs aux parents et aux professionnels accompagnant des adolescents se scarifiant, pour mieux se positionner face à ces pratiques qui leur sont insupportables. 

Une mère s’effondre en pleurs et se sent « anéantie » par les scarifications de sa fille. Un psychiatre ressent les entailles de ses patients comme une blessure « dans sa propre chair ». Une infirmière recoud des plaies de scarifications sans anesthésie pour dissuader une adolescente de recommencer.

Environ 1 adolescent sur 6 s’est déjà scarifié d’après les dernières statistiques. Face à ceux qui se coupent régulièrement et volontairement la peau, parents et soignants se sentent mis à mal.

Adrien Cascarino prend le temps d’écouter ces adultes confrontés aux scarifications de leurs enfants ou de leurs patients. Il analyse finement leurs ressentis d’impuissance, de culpabilité et de colère et renouvelle ainsi en profondeur l’approche et la compréhension de cette symptomatologie adolescente.

En se concentrant sur ce qui se joue sur le plan psychique lors de la rencontre entre jeune et adultes, il propose des solutions pour une amélioration des soins. Au niveau institutionnel, il donne notamment des indications pour diminuer la prévalence des scarifications, sans pour autant tomber dans des logiques punitives qui risqueraient de majorer la souffrance psychique des patients.