En NOVEMBRE !

Artifice Numérique #7

Vendredi 15 novembre à 19h

Artifice Numérique, le festival d'arts numériques du Hublot, revient cette année pour sa septième édition, cette fois autour du thème de l'intelligence.

"Pour l'édition 2024, Artifice Numérique propose une thématique sur l'intelligence : un retour aux processus d'interactions entre nous et les robots humanoïdes.

La conscience, ce morceau de code permettant de nous reprogrammer et de modifier nos comportemens hérités d'une très longue histoire, est une partie superficielle de notre système de décisions et d'actions...

Cette analogie entre la conscience et le code autoprogrammable rappelle les intelligences artificielles conçues sur le même modèle, surpassant nos capacités de calculs et de traiement des données." (L'équipe du Hublot).

Artifice Numérique #7 donnera à voir une exposition de 6 installations d'arts numériques :

Taotie, installation cinétique et architecturale de Thomas Garnier,
Narcissus, installation vidéo/sonore immersive du collectif Insuto,
Effet de champ, installation cinétique et visuelle de Stéphane Bissières,
Dreambank, installation vidéo IA de Claire Malrieux,
Aujourd'hui les IA & Demain les robots, dyptique installation vidéo de France Cadet.

Vendredi 15 novembre à 19h00 : vernissage et ouverture de l'exposition, avec une visite commentée par le curateur et les artistes.

VERNISSAGE FESTIVAL OVNi Dans le même temps, le festival OVNi ouvre ses expositions vidéos dans la grande Halle du 109, à la Station et au Forum d’Urbanisme et d’Architecture

RESPECT CGU

Connaissez-vous Lord Brougham, le

« Père de Cannes », qui veille sur les Allées ?

L’histoire raconte que cet homme politique écossais est tombé amoureux de Cannes en 1835. À l’époque, Lord Henry Brougham fait escale dans la cité des Festivals, alors village de pêcheurs. Il doit se rendre en Italie mais se retrouve bloqué par une épidémie de choléra qui touche le pays voisin. Séduit par la Croix-des-Gardes, il pose finalement ses valises à Cannes où il finira ses jours, le 7 mai 1868, à 90 ans ! Pendant plus de 20 ans, celui que l’on surnomme le "Père de Cannes" participe à l’essor de la ville, qui devient un lieu de villégiature aristocratique. Après son installation, nombre de notables ont suivi son exemple tel que le général Taylor et le pasteur Woolfield en 1837 et des membres du Parlement britannique en 1838.
Si son corps repose au cimetière du Grand Jas, son imposante statue trône sur les Allées depuis 1878, date de son inauguration par le maire, Eugène Gazagnaire. La sculpture originale de Paul Lienard, détruite en 1941, a été reproduite à l’identique en 1952 par le sculpteur A.L. Trivero.

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