Danse

  « Au nom du rêve »

Représentation publique le  22 juillet à 18 heures.

Le musée des Beaux-Arts accueille en résidence la Compagnie Humaine / Éric Oberdorff et son projet participatif 

  « Au nom du rêve »

dans le cadre des « Résidences en territoire » de l'Été culturel 2023 porté par le ministère de la Culture.

Pour la réalisation de ce projet, le chorégraphe Éric Oberdorff est à la recherche de 14 danseurs amateurs ou confirmés sans limite d’âge (18 ans et plus).

Les thématiques explorées par « Au nom du rêve » seront celles des utopies personnelles et de la libération par la danse. En résistance au réflexe du repli sur soi, les soubresauts de notre société en mutation suscitent une envie de partage, de communion, de célébration. En réponse à ce désir profond et sincère de bouleverser les rôles établis, Éric Oberdorff et la Compagnie Humaine invitent le public à ce projet de création qui va à la rencontre des habitants du territoire et s’appuie sur leur singularité.       

                               EN ATTENDANT :

  Mon été à Nice

 L'odeur du vent d'Hadi Mohaghegh

Ultra contemplatif, le quatrième film d'Hadi Mohaghegh, se déroule dans les plaines d'Iran, où un homme vit seul avec son fils. Un électricien vient réparer leur transformateur électrique, mais doit repartir, à la recherche d'une pièce manquante. Les paysages du sud-ouest de l'Iran, montrés par le réalisateur sont grandioses, presque féériques. Ils dominent tout, et les rares hommes croisés y semblent perdus, mais aussi investis d'une force à déplacer les montagnes. Hadi Mohaghegh raconte une histoire touchante, de bon samaritain, faite d'instants de grâce et de péripéties cocasses. Le cadrage, caméra posée, sont parfaits, mais accusent une certaine répétition. C'est dans le rythme que le bât blesse. Succession de longs plans fixes, avec entrée et sortie de champs des personnages, L'odeur du vent est lent d'une lenteur qui joue avec les nerfs