Dans le cadre de la Biennale des arts de Nice, le musée Matisse présente un dialogue inédit entre David Hockney et Henri Matisse. L’exposition Hockney-Matisse. Un paradis retrouvé s’ouvrira sur la série récente de fleurs peintes à l’Ipad dont l’artiste nous réserve la primeur pour l’été.
Légende de l’image à la Une :
Visuel de l’affiche de l’exposition
Œuvres :
→ Henri Matisse, « Tulipes et huîtres sur fond noir », 1943, huile sur toile, Musée national Picasso, Paris © Succession H. Matisse | Photo © RMN-Grand Palais (Musée national Picasso-Paris) / Mathieu Rabeau
→ David Hockney, « 30th January 2021 », peinture sur iPad, collection de l’artiste © David Hockney
Commissaire Général de la Biennale des Arts de Nice 2022 : Jean-Jacques Aillagon
Exposition organisée en collaboration avec David Hockney
Commissariat de Claudine Grammont
Dans le cadre de la Biennale des arts de Nice, le musée Matisse présente un dialogue inédit entre David Hockney et Henri Matisse. L’exposition Hockney-Matisse. Un paradis retrouvé s’ouvrira sur la série récente de fleurs peintes à l’Ipad dont l’artiste nous réserve la primeur pour l’été.
Au-delà de cette entrée en matière, Claudine Grammont a imaginé un parcours des collections du musée Matisse guidé par l’œuvre de David Hockney.
Plus que des face-à-face, se créent des résonances surprenantes qui évoquent des univers communs aux deux artistes, notamment cette continuité sensible entre l’espace de l’atelier et de ses objets, cadre mental de la création, et l’en dehors paysage, de Nice, de Tahiti ou de Los Angeles. La Côte d’Azur rejoint ainsi la Californie à travers les thèmes de la piscine, de la fenêtre et du jardin luxuriant. De salle en salle on comprend que l’œuvre de David Hockney n’est jamais loin de celle de Matisse, dans ses dessins au trait à la ligne épurée, dans ses paysages habités par le mouvement et le corps de l’artiste, dans leur rapport au modèle, et plus généralement dans cette volonté commune d’embrasser le réel.
Partout, cette même exigence du regard du peintre qui pense l’acte de la perception, l’explore dans ces multiples possibles, partout aussi ce même désir pour la couleur qui nous ravit : un paradis retrouvé.
Seront ainsi réunies plus de soixante-dix œuvres de David Hockney, des années 1960 jusqu’à aujourd’hui, en dialogue avec une sélection d’œuvres d’Henri Matisse de la collection du musée Matisse, à laquelle s’ajouteront des prêts exceptionnels et notamment ceux de la Fondation Beyeler et du Musée national Picasso-Paris.
EN ATTENDANT :
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