Grand retour de Biot et les Templiers après 9 ans d'absence ! La Cité médiévale de Biot va nous ouvrir les portes du temps pour revivre le Moyen-âge au siècle des croisades et des conquêtes, parmi les Templiers !
Spectacles, campements, chevaliers, troubadours nous invitent à un incroyable voyage au Moyen-Age, sous les oriflammes et les flambeaux !
Entrée libre et animations gratuites
Thème 2023 : « l’héritage du XIIIème siècle »
Vendredi 31 mars, samedi 1er avril et dimanche 02 avril 2023, Biot s’apprête à vivre au rythme du Moyen Âge lors de trois journées exceptionnelles.
L’événement historique Biot et les Templiers 2023 annonce en cette année du grand retour, bien des surprises festives et culturelles. 25 troupes médiévales représentant 13 pays européens seront présentes seront présentes, réparties sur 2 campements dynamiques!
Retrouvez également les représentations époustouflantes qui ont fait de cette manifestation un rendez-vous incontournable des reconstitutions historiques : l’embrasement son et lumière de la Cité, les spectacles de chevalerie et de fauconnerie médiévale, les reconstitutions de combats, les déambulations et les spectacles de rue…
Cette 7ème édition de Biot et les templiers offrira, une fois de plus, une programmation de qualité, fidèle à l’histoire et entièrement gratuite.
Grande soirée d’ouverture vendredi 31 mars à partir de 18h30 avec défilé, revue de troupes et spectacle son et lumière
Live show de Luc Arbogast et bal médiéval samedi 1er avril à partir de 20h, suivis du Bal médiéval avec toutes les troupes de troubadours et de musiciens
Le spectacle de Fauconnerie "Hippogriffe" présentera les rapaces de diverses espèces et de toutes les tailles au public. Dans un ballet aérien exceptionnel de rapaces, le fauconnier Fabien Llorens animera un spectacle d’oiseaux évoluant à proximité et au-dessus du public, témoignant de la complicité entre les dresseurs et leurs animaux.
Spectacles équestres proposés par Histoire Autrement, spécialistes des prestations de haute voltige.
Défilés aux flambeaux vendredi 31 et samedi 1er avril à 18h30 : plus de 2 000 flambeaux seront distribués pour une procession des troupes et du public dans les rues de Biot, remplies
d’histoire.
Un village médiéval miniature entièrement dédié aux enfants sera érigé sur le campement des Arcades. Des animations et des jeux seront proposées en continu aux enfants le samedi et le dimanche :
jeux de quille, de balance et de palet
préparation de la tambouille dans les tentes avec des dînettes en bois
Des conteurs se produiront également tout au long du weekend pour raconter des saynètes héritées des temps médiévaux.
18h30 : remise des clés de la cité par Jean-Pierre Dermit, Maire de Biot au Sénéchal du Temple Thibault de Saint-Hilaire. Présentation des troupes par Messire Thibault de Saint-Hilaire, Sénéchal du Temple.
20h : Défilé aux flambeaux - Départ Biot village
20h30 : Passage en revue des troupes - Campement de la Fontanette
20h45 : Embrasement de la cité et spectacle son et lumière pyromélodique avec la participation du chanteur médiéval Luc Arbogast - Campement de la Fontanette
France
Italie
Espagne
Luxembourg
Allemagne
Angleterre
Autriche
Slovénie
Pologne
L’Ordre des Templiers apparaît au XIIème siècle, à la suite de la prise de Jérusalem par les Perses et les Arabes. En ces temps de Croisades, les pèlerinages en Terre Sainte deviennent dangereux et les chemins incertains. Il devient urgent pour l’Église d’assurer l’unité des Chrétiens et d’affirmer son autorité.
1209 : l'arrivée des Templiers à Biot
En mars 1209, le Comte Alphonse II de Provence délivre à l’Ordre du Temple un acte de donation autorisant la jouissance d’une partie des terres biotoises. À Biot, les possessions du Temple sont d’abord gérées par la commanderie de Grasse et ce n’est qu’en 1233 que les chevaliers du Temple investissent leur nouvelle « maison », située dans l’ancien château de Biot, encore visible aujourd’hui au coeur du village entre la place des Arcades et la place de l’Église.
EN ATTENDANT :
Kolya - Regarder le film complet | ARTE
Endetté, un musicien tchécoslovaque au chômage conclut un mariage blanc avec une jeune mère de famille russe... Au travers de l’éveil à la paternité d’un égoïste patenté, une évocation malicieuse d’un pays de l’Est à l’heure du communisme finissant. "Kolya" remporta en 1997 l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Tchécoslovaquie, 1988. Depuis que son frère a fui à l’Ouest, Frantisek Louka a été évincé de l’Orchestre philharmonique de Prague. Désormais sans emploi, le quinquagénaire vivote en donnant des cours de violoncelle, en jouant aux messes d’enterrement et en restaurant les tombes du cimetière. Habitué à papillonner d’une jolie femme à l’autre mais criblé de dettes, le célibataire endurci se résout à accepter un mariage blanc avec une jeune mère de famille russe. Peu de temps après leur union, cette dernière profite de son nouveau passeport tchèque pour filer en RFA rejoindre son amant marié, laissant à Louka la charge de Kolya, son fils de 5 ans…
Le déclassement ou la fuite
Située un an avant la révolution de velours qui vit la Tchécoslovaquie se libérer de la tutelle soviétique, l’intrigue de ce petit bijou du cinéma dépeint la société civile tchèque à un moment charnière de son émancipation du communisme. Au travers de l’éveil à la paternité d’un quinqua égoïste, contraint par les événements de cohabiter avec un garçonnet moscovite ne parlant pas un mot de sa langue, Jan Sverak croque avec malice les relations d’alors entre Tchèques et Russes et la répressive bureaucratie qui fait plonger, de débine en combines, les citoyens qu’elle accule au déclassement ou à la fuite. Entremêlant petite et grande histoire, émotion et critique sociale, un film distingué notamment aux Golden Globes et aux Oscars.