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                             EN AVIL... à vos agendas !

Des cabines magiques vont lire dans votre tête : osez l’expérience !

                                8-04-2025

Une machine qui lit dans votre esprit ? C’est l’expérience fascinante des "Cabines à tours automatiques" au Festival de la Magie de Nice. Une intelligence artificielle lit vos pensées et influence vos choix… Une illusion ou une réalité troublante ? 

Une machine qui devine vos pensées, anticipe vos choix et vous manipule sans même que vous vous en rendiez compte. Science-fiction ? Nope. Avec Les Cabines à tours automatiques, vous entrez dans un univers où la technologie remplace le magicien.

Quand l’IA devine vos pensées...

Dans ces cabines, pas de cartes truquées ni de lapins sortis d’un chapeau. Huit expériences interactives vous attendent pour tester vos limites face à des “machines pensantes” qui lisent en vous comme dans un livre ouvert. Jusqu’où peut aller l’intelligence artificielle ?

Un mentaliste… version machine !

Signée Thierry Collet, maître de l’illusion et du mentalisme, cette installation interroge notre rapport aux machines. Sommes-nous vraiment maîtres de nos décisions ou juste des marionnettes programmables ? Laissez-vous surprendre… si vous l’osez.

📅 Les cabines à tours automatiques 

mardi 8 avril de 14h-19h

🎟️ Gratuit

RESPECT CGU 

EN ATTENDANT  INFO : 

 Cette rue qui doit son nom à un rocher... en toc

C’est l’histoire d’une rue qui n’avait pas de nom. De mémoire d’homme, elle se serait appelée rue de Jussieu. Mais aucune trace de ce nom lorsqu’au milieu des années 20, des agents du cadastre de la Ville cherchent à recenser les rues de Nice. Ils tranchent alors pour rue du Rocher, après avoir entendu une drôle d’histoire pendant leur visite sur place. 

À cette époque, une auto-école est tenue par la famille Donnet-Nasarre à l’angle du boulevard Gambetta et de la future rue du Rocher. Lors de leur passage, les agents du cadastre s’entretiennent avec cette famille niçoise. L’un d’eux aurait alors indiqué qu’un rocher trônait au fond de la rue. Un argument qui aurait suffi aux agents pour la baptiser ainsi. 

S’il est peu probable qu’un rocher ait pu atterrir à cet endroit, une pierre y a pourtant bien élu domicile. Pour comprendre comment, il faut remonter encore un peu plus dans le temps. Quelques années auparavant, de décembre 1883 à mai 1884, l’exposition internationale de Nice se tient sur la colline du Piol. Un immense palais des expositions éphémère (notre image) est construit, avec un mélange de plâtre et de bois, en quelques mois. Ainsi que des pavillons et un parc très végétalisé dans lequel on trouvait une cascade en fausses pierres, avec une chute de plus de 20 mètres de haut. Le fameux rocher du bout de la rue en est seulement un vestige...