Ensemble, émerveillons-nous devant ses couleurs acryliques ou à l’huile.
Sentez-vous libre si l’envie vous en prend, de venir discuter peinture, de ses tableaux et de vos coups de coeurs.
Ses créations réalisent mes besoins, elles la guident et proposent leurs couleurs...
Entrez dans son monde et laissez éclore votre imagination.
Catherine Jacquin peint sur des toiles en lin ou en coton, sur châssis, à l’huile ou à l’acrylique, elle utilise aussi des feuilles d’or pour souligner et / ou sublimer certaines parties d’une oeuvre.
Elle traite en surface ses toiles avec un Gesso et de l’empatement. Ce qui lui permet de donner de jolis reliefs là ou elle ressens l’envie ou le besoin d’en ajouter.
Elle utilise un vernis 2 couches pour ajouter de la brillance, qui, en plus de protéger les toiles, met en valeurs les couleurs, particulièrement lorsque les tableaux sont exposés au Soleil ou à toute autre source de lumière.
https://catherine-jacquin.com/
La Rubrique EN ATTENDANT .... :
Il y a des lignes
La série photographique Il y a des lignes est consacrée à l’allure du corps dévêtu et aux traces de vie. La perspective non dissimulée du photographe permet aux spectateurs d’observer des silhouettes de régions du corps nichées ensemble, l’enchevêtrement et la courbure de la peau ainsi que la matière physique. Même si certains éléments des corps exclusivement féminins sont reconnaissables, il reste souvent un mystère où les lignes guideront le regard. Les courbures et les plis créent des courbures dans les surfaces structurées et éveillent des visions de la nature. L’œil du spectateur est canalisé dans les paysages et les vallées, dans l’ombre ou la lumière. La variation est toujours présente : là où les lignes du corps extérieur semblent refléter la transformation, les pigments et la structure de la peau permettent des suggestions invisibles d’âge ou d’origine. Reste la question des histoires qui se cachent derrière la composition individuelle de chaque corps féminin, qui sont ici représentées de manière si ouverte mais cachée. Sous la protection de la courbure, la peau des modèles semble être un linceul symbolique pour les expériences cachées en dessous.
Cette série oppose à la perspective masculine une vision de la réalité et corrige simultanément la vision antérieure du photographe en tant que produit du subconscient patriarcal. Ainsi, l’artiste poursuit sa curiosité quant aux histoires que racontent les corps nus et ce que signifie être une femme.
Astrid Susanna Schulz