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Ces animaux sont généralement associés à des habitats bien spécifiques tels que les «herbiers de zostères», qui sont des plantes marines ressemblant à de l’herbe. Les herbiers de zostères offrent à la fois de la nourriture et des cachettes pour se camoufler, créant ainsi un environnement pour la vie des hippocampes.
Mais l’habitat de l’hippocampe ne doit surtout pas être pollué. C’est ce qui explique, selon des recherches scientifiques, qu’ils sont rares sur les côtes. De plus, cet environnement s’il est dans une eau de bonne qualité, est propice à davantage de cachettes pour se protéger des prédateurs, mais aussi d’une abondance en nourriture.
L’écosystème marin doit également être sain, avec des variations de températures de l’eau minimes, toujours selon nos confrères. Les hippocampes sont confrontés à diverses menaces, notamment la destruction de leur habitat due à la pollution, la pêche accidentelle et le commerce illégal.
C’est aussi ce qui explique que la découverte de cet animal se fait de plus en plus rare sur la côte vendéenne. Il est aussi difficile d’affirmer que l’eau est réellement « de bonne qualité », car la pression de la pêche ou la disponibilité en nourriture est parfois responsable de l’échouage d’hippocampes sur les côtes françaises.
Cette découverte inattendue a permis à l’équipage de L’Amiral des Côtes d’immortaliser ce souvenir, et à l’hippocampe de retrouver son habitat naturel.