
avec Maurice Fréchuret
À toutes les époques, les artistes ont été à l’écoute des choses essentielles de la vie. Les gestes premiers ou fondamentaux comme respirer, dormir, manger… ont toujours été présents dans les œuvres d’art.
Dans le cycle que nous proposons, nous nous attacherons à le montrer en nous appuyant sur une iconographie abondante et choisie qui traversera l'histoire de l'art, des temps les plus reculés à la période la plus récente.
Nous pourrons ainsi mettre en évidence ce qui fait lien entre, par exemple, les représentations de la grotte Chauvet ou celles des siècles antérieurs et la production artistique contemporaine.

A la fête / à la casseAlors qu’on fête les 20 ans de Facebook, bien remis de son aventure dans le métavers et, redéployé sur l’IA, ayant vu sa valo multipliée par 3 en à peine 2 ans (now 1200 Mds$ soit à peu près la moitié de toutes les valos du CAC40 cumulées), Le Monde revient sur "l’interminable implosion d’Atos", le champion français et européen de la tech. En 2 ratages. 1) "Le cloud computing". Pendant qu’Amazon, Google ou Microsoft développent leur offre de serveurs "publics" mutualisés et loués à des clients, Atos sous l’égide de Thierry Breton (patron de 2008 à 2019) fait le pari du vieux métier de l’infogérance (la gestion de l’informatique d’entreprises propriétaires de leurs serveurs). Résultat : "le cloud public a cassé le marché et Atos s’est retrouvé à gérer des machines obsolètes". 2) La mondialisation des cerveaux. Alors que tous les champions de la tech se sont mis à embaucher massivement des ingénieurs en Inde (150 000 ingénieurs indiens travaillent pour Capgemini), Atos ne prend pas ce virage. Le problème : "le coût par tête va de 1 à 6 entre offshore et onshore".
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