
Où célébrer l’arrivée de l’été en dansant, trinquant, riant?
La capitale azuréenne rythmera, comme chaque année, aux sonorités musicales et festives partout en ville.
L’incontournable Dolly street est de retour avec plusieurs DJ sets.
Un événement engagé porté par le centre LGBTQIA+.
Samedi 21 juin, dès 18h
Au programme, 4 DJs assureront la soirée : Anna Crouse, Jissé, FredSky et Ben Crafter.
EN ATTENDANT INFO :

L’écrivain américain Richard Ford, déjà lauréat du Prix Pulitzer, s’est vu attribuer, samedi 14 juin 2025, le Prix Fitzgerald 2025 pour son roman « Le paradis des fous » aux Éditions de l'Olivier.
Créé en 2011 par Marianne Estène-Chauvin, présidente de l'académie Francis Scott Fitzgerald et propriétaire de l'hôtel Belles Rives, le prix Fitzgerald récompense chaque année une oeuvre reflétant le style et l'art de vivre chers à l'auteur de « Gatsby le Magnifique ». En effet ,Juan-les-pins et le Belles Rives ont une histoire commune avec le couple Fitzgerald; Scott et Zelda s’installent dans la commune en 1925 à la villa Saint Louis, qui deviendra plus tard l'hôtel Belles Rives. C’est là qu’il écrira l’un de ses chefs d’œuvre « Tendre est la Nuit ».
Depuis les marches qui descendent du piano bar Fitzgerald vers la terrasse, Marianne Estène-Chauvin et le jury présidé par Bertrand de Saint-Vincent, ont annoncé le lauréat de la 14e édition du Prix Fitzgerald : l’écrivain et gentleman du Sud Richard Ford pour son roman « Le paradis des fous ». C’est le retour du personnage récurrent Franck Bascombe dans ce cinquième roman qu’il lui consacre. Alors âgé de 74 ans, Bascombe vient de disperser les cendres de sa première femme Anne, la mère de son fils Paul et sa seconde femme vient de le plaquer. Il est confronté à la mort imminente de son fils Paul, atteint d’une maladie neurodégénérative ainsi que par sa propre mort après avoir souffert d’un épisode d’amnésie. Père et fils partent dans un van pour une virée vers le mont Rushmore dans le Dakota du Sud. Le roman se déploie entre tristesse infinie et humour féroce. Mais comme le dit Richard Ford : « Écrire sur les choses les plus tristes est un acte d’optimisme. »
Dans son discours, le lauréat a remercié son éditeur français Olivier Cohen des éditions de l’Olivier, ses traducteurs « patients et généreux », Marianne et le jury et a rendu un long hommage à Scott Fitzgerald pour ses romans, des chefs d’œuvre qui sont encore lus de nos jours alors que l’on fête le centenaire de la sortie de Gatsby le Magnifique. Après la remise de la traditionnelle céramique réalisée par l’artiste Claude Aïello, les invités ont pu savourer quelques bulles de champagne Roederer ou un verre de rosé du domaine Ott accompagnés de délicieuses bouchées. Le Dîner des Écrivains, réalisé par le chef Aurélien Véquaud et le chef pâtissier Steve Moracchini du restaurant gastronomique étoilé La Passagère vint conclure cette belle journée littéraire.
Liste des inscrits (1/30 reste 29)
Liste d'attente 
Il y a 1 commentaire sur cette sortie.