EXPOSITION MONET EN PLEINE LUMIÈRE - AOÛT
Préventes à 7€ jusqu'au 30 juin !
_______________________________________________
Le prochain grand rendez-vous estival du Grimaldi Forum Monaco sera
consacré à l’œuvre de Monet et explorera les séjours de l’artiste sur la Riviera
à un moment charnière de son existence. Le parcours, jalonné de près de
100 tableaux venus du monde
entier, dont de très nombreux
chefs
d’œuvre rarement présentés
ensemble - et un inédit -, offrira
un nouveau
regard sur le travail du Maître.
Située à la croisée du chemine
ment chronologique et du parti
pris
thématique, l’exposition -
placée sous le commissariat
de Marianne
Mathieu, spécialiste de Claude
Monet - donnera les clés pour
mieux
appréhender la quête du peintre
au travers d’une scénographie
exceptionnelle
réalisée dans un espace
muséographique offrant une
totale liberté de
création sur 2500m2.
Le prisme de la lumière
En 1883, alors qu’ilest à mi-
parcours de sa longue vie et
qu’il s’installe à
Giverny, Claude Monet, toujours
à la recherche d’inspiration,
effectue son
premier voyage à destination
de Monte-Carlo et de la Riviera
qu’il va
découvrir avec son ami Pierre-
Auguste Renoir.
Il y reviendra seul en 1884 puis
en 1888. À Monte-Carlo,
Roquebrune,
Bordighera puis Antibes, il
nourrira sa quête, son obsession
, de capturer
la lumière. Le peintre septentrio
nal qu’il est va découvrir une
nouvelle
palette de couleurs, de nouveaux
éléments, et rencontrer des
difficultés à les peindre.
C’est lors de son dernier séjour
à Antibes en 1888 qu’il
anticipe ses célèbres séries
peignant depuis la plage de
la Salis, le fort d’Antibes par
tous
les temps.
Pour Marianne Mathieu, «
l’œuvre de Monet est d’une
grande cohérence, de sa jeunesse
havraise aux derniers
tableaux de Giverny, le peintre
ne cherche pas à peindre
un motif mais plutôt un moment
; Monet ne peint pas un
paysage mais une atmosphère
. Sur la Riviera, entre 1883 et
1888, c’est la maturité, Monet
se découvre le peintre des
séries. À Giverny, qu’il ne
quittera quasiment plus au
tournant du siècle, le peintre
évolue à nouveau, change
de point de vue, et ne peint plus
que
le miroir de l’eau.
Monet abandonne les vues
panoramiques au profit d’un
cadrage resserré offrant une
vision quasi-abstraite de l’eau
et ses reflets. Il ne peint pas son
jardin mais les seuls
éléments que sont l’eau et la
lumière. Il peint l’image
d’un monde flottant ».
Dans cette exposition, la
commissaire, Marianne Mathieu
invite les visiteurs à aborder
l’œuvre de Claude Monet au
travers du prisme de la lumière :
« ne nous demandons pas
ce que Monet peint mais plutôt
quand il le peint, ne
cherchons pas un motif, mais
un instant …».
Illustration ci dessus : Villas à
Bordighera, 1884, Huile sur toile
covoiturons !!!
RICHARD: j y vais a moto
Selle dispo
RDV FEU VERT ANTIBES