Quand je lis les dernières interventions, j'avais aussi lu un écrit qui suscite qq inquiétude :
""on s'habitue à tout ""
...... voilà une pensée qui pourrait nous rappeler ce qu'est l'individualisme, Une fois rentré chez soi, "on" prend place sur le canapé devant la télé qui diffuse les "news", pour ensuite prendre place devant son PC et son clavier qui permettra d'écrire "la sienne" .......
.... "on" peut s'imaginer intouchable loin de certains faits de société, mais rien ne peut nous en exclure totalement et que cela n'arrivera pas chez soi.
..... "on" peut se dire c'est .... "à Marseille" .... "à Montpellier" ..... et pourtant se promener sur le littoral ....."La Promenade des Anglais" nous rappellera à un bien triste souvenir.
Le trop plein de bien être nous aura fait oublier l'essentiel, la vie en société.
Il est inadmissible qu'en France, nous ne puissions pas pour beaucoup d ente nous, être émus et choqués par cette violence inouïe et intolérable et d une sauvagerie inqualifiable
D ' où tu sors ça ?
Qui te dit que beaucoup ne sont pas choqués et émus ?
C'est tout à fait vrai, mais je pense que les réseaux sociaux incitent aussi à la violence.
Je ne dirai pas le contraire, car là aussi il y a des "influenceurs anonymes" cependant les dits réseaux sociaux sont UN élément DES Presses lues ou entendues.
En d'autres temps nous avons bien connu la période des "blousons noirs", c'était bien un fait de société ......
Il serait intéressant de rechercher les causes de cette montée en violences.
Les esclaves seraient émus et choqués par les violences dont ils sont en priorité responsables et coupables , je n'y crois pas .
Des explications ? J'attendais que vous les fissiez : les blousons noirs !!! les réseaux sociaux , le manque d'emploi , pourquoi pas Moscou ???
NON LICET OMNIBUS ADIRE CORINTHUM On n'est pas obligé de tout comprendre
SECOND SENATEUR - Les sénateurs d'Athènes te font compliment , Timon
TIMON - Je les remercie , et je leur enverrais la peste en retour , si je pouvais l'attraper à leur intention .
W Shakespeare Timon d' Athènes 5 / II