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Sortie n° 5115681, créée le 07 01 2024
Gambade et cavalcade
#Philo - Psycho - Socio#Musée - Expo
Sponsor
Organisateur
Loiseau
Date de la sortie
Heure de début
Jeudi 25 Janvier 2024

Inscriptions & désinscriptions jusqu'à :
L'heure de la sortie
16:00
Descriptif de la sortie

 

 

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 joli mois de janvier

 

       Exposition

     Gambade et cavalcade 

                        25 janvier à 16h

       Martin Miguel

 

 

 

La peinture en sandwich ?

(De l'éviction du support à l'illusion du support)

Évincer le support ne veut pas dire ne pas en utiliser. Il est difficile d'imaginer comment réaliser quelque chose sans support. Si cette chose se faisait dans l'air, comme un feu d'arti?ce, l'air en serait le support, sans doute éphémère, mais néanmoins nécessaire pendant la durée de cette chose.

Dans mes derniers travaux, on voit du papier marqué par un dessin en creux portant des traces couleur rouille. L'habitude de l'esprit, depuis les temps préhistoriques, de voir des ouvrages dessinés ou peints voire gravés sur des supports préalables, naturels ou arti?ciels, à toute opération,

insinue que mes papiers préexistent avant toute espèce d'inscription.

C'est une illusion !

Le support préalable existe bel et bien, mais n'est pas présent lors de la mise à disposition aux regards, du travail réalisé. Ce support préalable, composite, ce sont des plaques de bois recouvertes d'un ?lm plastique ; il est éjecté de l'oeuvre à un moment du processus de sa réalisation.

Sur le ?lm plastique, je « dépose » un dessin, mais déjà faut-il éclaircir ce qu'est ce dessin ; il est le résultat de multiples opérations : ?Cela commence par la recherche sur internet de ?gures de l'art pariétal préhistorique (on en a déjà donné la raison ailleurs). J'en fais rapidement un relevé au crayon sur un petit bout de papier en omettant certaines parties, me concentrant essentiellement sur un contour. J'insère ensuite cette ?gure dans une autre ?gure, géométrique celle-là, un carré qui renvoie au carré archéologique des fouilles. C'est une extension du dessin originel et une délimitation qui à la fois concentre et ouvre un espace. Je reproduis cet état en un dessin au format plus grand (1m x 1m ou 50 cm x 50 cm jusqu'à présent) qui me sert de patron pour réaliser un nouveau dessin, celui-là en ?l de fer de 4 mm de diamètre. Il va sans dire que des pertes se sont produites depuis l'image originelle. Ce dessin en ?l de fer est réalisé en suivant le patron avec pince, pince-étau, marteau, tube, alternativement à plat et en l'air avec quelques sensations douloureuses dans les mains et les doigts.

Je dépose donc ce dessin, cet objet, sur le support provisoire et le parcours en le couvrant d'une pâte à papier, fabriquée de déchets, dont on peut faire l'analogie avec la peinture. Car la peinture, outre l'effet coloré qu'elle produit, peut avoir cette consistance pâteuse, et être considérée pour cette qualité de masse, d'objet avant l'effet de sa couleur. Néanmoins, je ne me prive pas de jouer avec la couleur en adjoignant, selon diverses fa?ons, aux pâtes à papier, des grains de pigments ou des encres ou toutes sortes d'autres matériaux. Il y a comme une mutation du rôle des matériaux dans une situation traditionnelle qui est de mettre de la peinture sur un dessin qui est lui-même sur un support parfois en papier. Il y a l'option aussi de considérer le support, le dessin, la peinture comme des objets dans leurs métamorphoses réciproques et leurs combinaisons. Le papier, qui est habituellement support, est un constituant qui devient matière/couleur activée au même titre que la peinture. Le dessin qui est habituellement accompli sur un support est lui-même un objet support supplémentaire sur lequel se déverse de la matière. Le mode opératoire et ses constituants ne sont plus dans l'ordre et la situation habituels et la production des formes, leurs caractéristiques, tient à ces états inhabituels.

L'opération de positionnement de la pâte sur le dessin en ?l de fer étant réalisée, je recouvre l'ensemble d'un autre ?lm plastique puis d'une autre plaque de bois que l'on pourrait nommer deuxième support, sur laquelle je dépose des poids pour exercer une pression et faire s'écouler l'eau de la pâte à papier. Cette situation peut faire penser à un hamburger mais aussi à un coffrage de ma?onnerie sauf que le sandwich se « mange » en entier alors que le coffrage, lui, disparaît, certes en laissant quelques indices de son passage.

Vient le temps du séchage pendant lequel le ?l de fer, au contact de la pâte humide, produit de la rouille (machine à couleur) qui se diffuse dans celle-ci. À un certain moment, après retournements successifs avec toujours une face à l'air libre, le dessin/objet/support/?l de fer est enlevé laissant son empreinte en creux dans la pâte et son dépôt de rouille. Lorsque la pâte, en forme de feuille, est sèche et durcie puis séparée du support préalable, j'adapte et colle un châssis en bois au dos pour éviter d'éventuelles brisures au cours des manutentions et présentations.

Cette mise en oeil par l'écrit d'un mode opératoire que son résultat ne révèle pas au premier regard, se veut descriptive mais aussi conceptuelle dans la mesure où des notions comme support, dessin et peinture sont à reconsidérer selon leur fa?on d'exister, d'apparaître, disparaître ou muter lors d'un processus. Ce qui est à voir est ce que l'on ne voit peut-être pas, ce que l'on ne voit pas est à voir spéculativement ce qui n'exclut pas sensations ou sentiments et émotions. Le temps du voir, quel que soit son ou ses moteurs, doit se moduler sur les temps de l'oeuvre grâce à ses stigmates révélateurs, pour avoir quelque espoir de visions. Vaincre la contradiction entre l'objet unique ?nal, éblouissant, et la quantité d'objets distincts, de situations et de gestes qui le permettent donne sens.

Miguel été 2019

 

EN ATTENDANT : 

 

 

L’essentiel à savoir sur l’art figuratif

 

 

Au fil des siècles, les artistes se sont exprimés à travers différents styles et ont adopté différents mouvements. Parmi les tendances et styles existants figurent par exemple l’art abstrait, le clair-obscur, le cubisme, l’expressionnisme et le figuratif. Ce dernier s’est particulièrement développé en occident et les œuvres qui en sont nées sont très variées.

 

Qu’est-ce que l’art figuratif ?

 

 En peinture, l’art figuratif est un style qui s’inspire des objets réels pour les représenter d’une manière différente. Il s’oppose ainsi à l’art abstrait qui ne tente de reproduire aucun objet réel et qui se repose surtout sur des formes abstraites. Bien souvent, le figuratif est associé à la représentation des hommes et des animaux. Cependant, il peut être plus large et peut par exemple inclure les paysages, la nature, etc. Par ailleurs, même s’il renvoie au réel, son objectif n’est pas de proposer une reproduction exacte de la réalité. Il est de ce fait différent de l’art réaliste ou même du surréalisme qui est plus proche de l’abstrait. L’artiste repose en grande partie sur son imagination pour offrir une vision différente de la réalité ou faire passer un message. Le figuratif est par ailleurs très proche de nombreux autres styles, ce qui rend assez complexe sa définition réelle. La peinture naïve est par exemple considérée comme une sorte de peinture figurative. En effet, un peintre naïf va représenter les objets réels, mais sans respecter la notion de réalisme. Les perspectives, la mise en échelle, la couleur ainsi que d’autres paramètres de la peinture seront ajustés selon l’imagination du peintre. La nature morte peut également être englobée dans l’art figuratif puisque cette technique consiste à représenter des animaux ou des objets non animés.

Quelques exemples d’arts figuratifs

L’art figuratif n’est pas une pratique récente. De nombreuses œuvres ayant vu le jour il y a des milliers d’années avant cet ère sont considérées comme étant figuratives. C’est par exemple le cas de la Vénus de Willendorf datant d’il y a 25 000 ans, qui est la sculpture d’une femme, mais qui n’est pas tout à fait une représentation exacte. De nombreuses peintures rupestres et des sculptures préhistoriques représentant des êtres et objets réels sont d’ailleurs considérés comme étant de l’art figuratif. Ils sont inspirés de la réalité, mais proposent involontairement ou volontairement un aspect plus fantaisiste. Parmi les différentes œuvres les plus connues, il y a aussi la célèbre Joconde de Léonard de Vinci. En effet, le tableau s’inspire du réel puisque c’est le portrait d’une femme. Toutefois, ce n’est pas une représentation réaliste. Et enfin, certaines œuvres de Picasso sont également considérées comme de l’art figuratif. Même si elle est déformée, tant qu’elle est reconnaissable, la représentation d’un homme reste de l’art figuratif. D’une manière plus générale, si un tableau représente par exemple une personne, il peut être figuratif lorsqu’il présente des points qui le rendent irréaliste.

Quelques artistes d’art figuratif à connaître

Actuellement, l’art figuratif est encore très tendance. Contrairement à l’abstrait, il est bien plus facile à appréhender, mais une légère pointe d’irréalisme présente lui donne une dimension plus fantastique. Si vous souhaitez acquérir ce type d’œuvre pour décorer votre intérieur, il est possible de consulter des œuvres d’artistes reconnus de différentes manières. Les galeries d’art sont notamment les meilleurs lieux pour contempler en direct la beauté de cet art. Cependant, si vous êtes nerveux à l’idée d’entrer dans ce type d’endroit, vous pouvez aussi consulter les galeries en ligne. Les consultations en ligne vous permettent de connaître facilement le prix des œuvres qui vous intéressent. Parmi les noms qui sont souvent cités figure par exemple la Française Françoise Adnet, Otto Lohmuller, Odd Nerdrum, Alex Katz et Lotte Laserstein. Toutefois, d’autres artistes contemporains tels que Virginie Schroeder méritent aussi votre attention si vous appréciez les peintures figuratives. Chacun de ces artistes a sa propre manière de réaliser ses œuvres. Pour le cas de 

Virginie SCHROEDER, ses portraits sont souvent un mélange de style figuratif et d’abstrait. Afin de réaliser ces portraits, elle se sert de lignes courbées et de couleurs variées pour créer des formes qui donnent un portrait lorsqu’elles s’assemblent. Ainsi, la personne représentée n’est pas identifiable au premier abord. Cela donne aux œuvres de cet artiste un aspect unique et un côté plus ludique.

Virginie Schroeder artiste peintre international francais canadien quebecois art optique cinetique street art pop art (virginie-schroeder.com)

 

Moi méprisable gif. Un serviteur lève les yeux avec admiration et sourit lentement.

 

                                       

 

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