EN MARS
La transition écologique est l’affaire de tous, car elle concerne directement notre vie quotidienne et relève de comportements responsables et indispensables.
En effet, elle est une évolution vers un nouveau modèle économique et social, un modèle de développement durable qui renouvelle nos façons de consommer, de produire, de travailler, de vivre ensemble pour répondre aux grands enjeux environnementaux, ceux du changement climatique, de la rareté des ressources, de la perte accélérée de la biodiversité et de la multiplication des risques sanitaires environnementaux.
Pas un jour ne passe sans que les scientifiques ne nous alertent sur les dangers du dérèglement climatique sur l’écosystème, la météo, la qualité et la quantité des ressources, la santé publique ou encore la croissance économique.
La transition écologique opère à tous les niveaux pour apporter une solution globale aux menaces qui pèsent sur notre planète.
En s’appuyant sur cette dynamique, la Maison de l’Environnement est là pour essayer de vous encourager ou vous accompagner à avoir les outils ou l’information nécessaire pour avoir un réel comportement écocitoyen.
Cette stratégie se fait sous forme de conseils mais aussi d’ateliers ludiques, de manifestations, d’animations, de conférences-débats ou d’expositions et notamment dès le plus jeune âge.
Aujourd’hui plus que jamais, ensemble, nous avons la responsabilité d’agir pour construire un avenir durable pour tous !
Samedi 8 mars de 9h à 12h:
“Les vêtements feminins”
Venez échanger et troquer les habits et accessoires de femmes.
Entrée libre.
RESPECT CGU
EN ATTENDANT :
La recommandation lecture
Parmi les géants de son temps, Guillaume Budé tient une place à part. Il est assurément le plus singulier des lettrés français de la première Renaissance. Contemporain d’Érasme et de Thomas More, il posa comme nul autre avant lui – mais aussi après lui, peut-être – la question des humanités en France, ainsi que les bases d’une réflexion nationale en la matière. Parallèlement à son rôle dans la politique culturelle du royaume, ses ouvrages montraient la voie encyclopédique d’études qui n’entendaient laisser de côté aucun domaine de la connaissance antiquaire : philologie du Digeste, patristique, lexicologie du grec ancien, érudition numismatique, histoire économique. Autant de domaines qui, de nos jours, n’apparaissent plus guère dans un cursus de lettres classiques, voire d’histoire ancienne. Or les recherches savantes auxquelles Budé s’adonna tout au long de sa vie ne sauraient être comprises, dans leur portée et dans leur signification, qu’en étant replacées dans le contexte qui fut le leur. Sans cet effort historique – lequel était déjà au fondement de la démarche même de Budé face à l’Antiquité –, nous risquons de nous heurter à un monde incompréhensible. Ainsi sonnait déjà la leçon des écrivains de la « Renaissance » : c’est en tentant de comprendre de l’intérieur les civilisations révolues, dans toute la diversité de leurs préoccupations – et quitte à mesurer ce qui nous en sépare –, que nous en pourrons tirer les enseignements les plus utiles à notre temps.