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EN DECEMBRE 
À vos agendas
Protéger, décorer, franchir, ventiler, raconter… mais que nous disent les portes du Vieux-Nice ? Après avoir franchi la porte du Centre du Patrimoine-Le Sénat pour découvrir sa nouvelle exposition, nos guides-conférenciers vous emmèneront dans les ruelles du centre ancien à la recherche des petites et grandes portes. Rendez-vous mercredi 18 décembre à 10h à la porte du 14 rue Jules Gilly !
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SÉSAME, OUVRE-TOI ! Exposition
JEAN TOCHE
Samedi 14 décembre – ouverture exceptionnelle
Il était une fois un adolescent niçois, Jean, et sa famille, qui ont pris des risques considérables pour sauver des familles juives durant la Seconde Guerre mondiale. Avec le concours des descendants de la famille Toche, découvrez un hommage à la mémoire collective à travers un récit individuel abordant le contexte du régime de Vichy, la montée de l’antisémitisme et les conditions de vie sous l’Occupation. |
Visite libre de 14h à 18h et visite commentée à 16h
Un hommage à Jean Toche, un amoureux du Val d’Entraunes
Avec cette exposition, le service des Archives Nice Côte d’Azur rend également hommage à Jean Toche. Formé à l’école des arts décoratifs de Nice et à l’ENSET de Cachan, Jean a mis son talent de graphiste au service de grandes institutions culturelles, tout en explorant sa passion pour la montagne et la nature. Avec son épouse, il a fondé Lou Lanternin, une revue dédiée au Val d’Entraunes, et a contribué au Parc national du Mercantour en illustrant des sentiers et des panneaux pédagogiques. Entre mémoire et art, Jean Toche nous a légué un récit vivant de l’Histoire et transmis son amour pour le patrimoine naturel.
RESPECT CGU
EN ATTENDANT INFO :
Le saviez-vous ?
FAUSSE PORTE ?
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La Porte fausse n’est pas une porte. Cette architecture monumentale, inaugurée en 1947, permet, par des escaliers, de passer du Vieux-Nice au boulevard Jean Jaurès. On raconte souvent qu’un luthier qui habitait là avait fait don à la Ville de son immeuble pour que l’ancien passage intérieur prenne la belle allure qu’on lui connaît aujourd’hui. Mais cette générosité est une légende urbaine, sans vouloir vous décevoir. Il existait bien un luthier, Albert Blanqui, qui vivait dans cet immeuble mais il a fait l’objet d’une expropriation, tout comme les autres copropriétaires, en 1938. Avant cette date, la Ville leur versait une redevance annuelle en dédommagement d’un droit de passage. |
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Bon à savoir Les portes fausses ? Il en existe une autre minuscule et éphémère.
Un indice ICI |
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