Les seiches,
très souvent étudiées pour leurs capacités cognitives impressionnantes,
peuvent reconstruire des souvenirs à partir d’informations stockées
séparément dans le cerveau.
Et si ces dernières sont erronées ou mal assemblées,
elles sont à l’origine de faux souvenirs.
Comme chez les humains.
Quant aux poulpes, ils pourraient également stocker
des souvenirs à court et à long terme.
Vraiment pas si bêtes, ces céphalopodes !
Avec Christelle Jozet-Alves, enseignante-chercheuse au laboratoire d’Éthologie animale et humaine de Caen au sein de l’équipe Neuroéthologie cognitive des céphalopodes, médaille de bronze du CNRS 2022
Modération : Hélène Delmotte