EN DECEMBRE
Exposition
Avec 31 peintures, 454 dessins et gravures, 38 gouaches découpées, 57 sculptures et de nombreux objets personnels ayant appartenu à Matisse, la collection offre un panorama représentatif du travail de l’artiste.
Elle souligne également la diversité des médiums qu’il a employés et nous permet de mieux saisir ses expérimentations esthétiques.
Un parcours chrono-thématique, déployé sur quatre niveaux, invite à la découverte ou à la redécouverte de l’œuvre du maître, dont la figure est entrée dans la culture populaire universelle.
RESPECT CGU
EN ATTENDANT :
La recommandation lecture
Être lent dans un monde agité.
De quoi la lenteur est-elle l’affirmation positive ? Peut-on la penser dans sa propre immanence ? Pourquoi sommes-nous systématiquement amenés à la détester ? N’y a-t-il pas de belles lenteurs ?
La lenteur a toujours été définie sous les sceaux du négatif et du manque. Manque de rapidité à réagir, à effectuer une action, à répondre, à avancer… En un mot, la lenteur fait toujours défaut. Il y a comme une impossibilité à la définir pleinement, par et pour elle-même.
Ce petit traité philosophique n’est pas un éloge. Son ambition est d’arriver à débusquer les significations de la lenteur et ce qu’elle convoque irrémédiablement — l’agacement, l’attente, la déception…
Mais aussi de faire émerger, par petites touches, un concept de lenteur et le personnage conceptuel de « l’être-lent ».