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                                            EN AVRIL

         Exposition

La Citadelle à Villefranche-sur-Mer présente Le Cœur caché,

une exposition de Jean-Marc Caimi & Valentina Piccinni.

Sous le ciel écrasant de la Côte d’Azur, entre les reflets scintillants de la Méditerranée et les ombres profondes des montagnes, une question : qu’y a-t-il au-delà de cette lumière qui fascine et consume tout ?

Avec Le Cœur caché,

Jean-Marc Caimi et Valentina Piccinni

nous invitent à explorer l’envers du décor,

ce territoire à la fois surexposé par le soleil et saturé d’images clichées qui en masquent la réalité intime.

Depuis treize ans, ce duo de photographes italiens tisse une œuvre à la frontière du documentaire et de la poésie visuelle. Leur approche, empreinte d’humanité et de curiosité, transcende la simple capture d’images.

Au cours de deux résidences, d’abord au Centre de la Photographie de Mougins en décembre 2024, puis à La Citadelle de Villefranche-sur-Mer en janvier 2025, Caimi et Piccinni ont plongé dans les strates cachées de ce territoire mythique.

De Fréjus à Sospel, des îles de Lérins aux ruelles de Villefranche-sur-Mer, ils ont tenté de sonder l’âme de la Riviera française, délaissant les images cartes postales pour capter une métaphysique des lieux.

Jean-Marc Caimi et Valentina Piccinni sont un duo spécialisé dans la photographie documentaire, avec une attention particulière portée aux relations entre l’homme et le territoire ainsi qu’aux transformations socio-politiques.

Ce projet est le fruit d’une collaboration entre La Citadelle – Centre d’art & Musée, Le Centre de la photographie de Mougins, avec le soutien de la DRAC Paca, du Département des Alpes-Maritimes et de l’ENSAP – Villa Arson.

                                LUNDI 7  10h

RESPECT CGU 

EN ATTENDANT  INFO : 

 La recommandation lecture

Penser le droit à partir de son moment judiciaire, c’est inviter à le réinscrire dans le domaine « pratique », non séparable de la morale, dans la dépendance des règles, des procédures et de l’éthique de ses acteurs. Cette attention au moment d’application permet de reconsidérer l’autorité morale du jugement et la légitimité démocratique du pouvoir judiciaire.