Je vous propose une sortie autour :
d'un apéro dinatoire convivial !
Chacun ramène ce qu'il veut.... (Pain; saucisson; jambon; fromage, olives, tomates, salades etc...)
À ma charge le glouglou.
Faire connaissance ou se revoir avec comme sujet :
Le temps qu’il te reste ou qui te reste ?
Voilà, tout est à peu près dans le titre : « le temps qui te reste à tenir » ou « le temps qu’il te reste à tenir » ? Avant la retraite par exemple ?
Je pencherais pour la 1ére solution… « Le temps » est COD (Complément d’Objet Direct) de « reste à tenir »… Mais c’est vrai aussi pour la 2ème tournure.
Qui est un pronom relatif sujet, qu’ (=que) est ici le pronom relatif COD.
C’est pourquoi la seconde proposition me semble la bonne.
Le temps qu’il te reste = Le temps « que il » te reste (=>Il te reste du temps). Dans la tournure impersonnelle, il est sujet du verbe reste et que (= le temps) est COD du verbe.
C’est pourquoi l’on ne peut, à mon avis, remplacer que + il par qui. Vous diriez : c’est le temps que tu dois encore passer à travailler.
Dans la phrase : c‘est le temps qui passe, qui (mis pour le temps) est bien sujet du verbe passer.
C’est la tournure impersonnelle me qui joue des tours.
Il te reste à tenir quoi ?
Des jours. Donc, c’est bien un COD, représenté par qu’, et c’est qu’il qui doit être utilisé.
Hummm… Mais c’est dans le cas où je veux garder la tournure impersonnelle. Ne pourrais-je écrire Les heures qui restaient à Martin allaient être difficiles plutôt que Les heures qu’il restait à Martin allaient être difficiles ? Ou encore Des heures restaient à Martin qui allaient être difficiles plutôt qu’Il restait à Martin des heures qui allaient être difficiles ?
Humm. J’ai l’impression qu’en changeant heures par pommes, les choses deviennent différentes.
«Ce qu'il reste» : ne faites plus la faute !
Une règle très simple nous permettra de mettre fin à nos sempiternelles tergiversations.
ORTHOGRAPHE - « C'est ce qu'il me reste » ou « C'est ce qui me reste » ? Les locutions font florès au quotidien. Mais quand est-il correct de les employer ?
Peut-on faire «ce qu'il» nous plaît avec le français? À regarder l'orthographe parfois vacillante de nos hommes politiques et la grammaire souvent bancale des réseaux sociaux, il semblerait bien que la langue de Molière soit un menu à la carte.
Après tout, pourquoi s'astreindre à respecter des contraintes linguistiques si l'on parvient à se faire comprendre?
Sûrement parce que la langue française est belle et riche de ses subtiles complexités. Aussi tâchons de respecter ses règles et évitons d'appauvrir notre dictionnaire en subtilisant un mot pour un autre. Par exemple la locution «ce qui» en lieu et place de «ce qu'il».
● «C'est ce qu'il me reste» ou «C'est ce qui me reste»?
Une règle très simple nous permettra de mettre fin à nos sempiternelles tergiversations. «Qui est le sujet du verbe construit personnellement», Exemple: «Je ne sais pas ce qui m'a pris.»
«Ce qu'il» quant à lui est à utiliser dans une tournure impersonnelle. Exemple: «C'est ce qu'il reste de mieux à faire.»
Toutefois, il arrive que la nuance entre les deux pronoms soit indistincte et que l'emploi des deux formules puisse être correct. Pour appuyer cette argumentation, on oppose ainsi Pagnol «ce qui restait d'élèves» et Maurois «ce qui lui reste de sainteté».
Il n'est donc pas inconvenant par conséquent d'employer «ce qu'il» pour «ce qui» dans la phrase «nous verrons ce qui se passera».
Libre à nous de jouer partout, tout le temps durant des heures car nous avons tout notre temps.
De l'humour et de la convivialité de la musique CD….USB...disques vinyls et nous prendrons le temps..
Un apéro dinatoire convivial !
Quel bonheur!
Jusqu’à preuve du contraire...?
Mes sorties sur certains sujets peuvent paraitre un peu virtuelles ou farfelues, bizarres, excentriques mais je suis tjrs là....pour accueillir les inscrits présents.