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Sortie n° 4898791, créée le 01 11 2022
Le train de la toussaint à nice
Sponsor
Organisateur
Date de la sortie
Heure de début
Mercredi 02 Novembre 2022

Inscriptions & désinscriptions jusqu'à :
L'heure de la sortie
09:40 (du matin)
Descriptif de la sortie

 

 Les IDEES de Sorties 

 de Loiseau 

 

Résultat d’images pour gif oiseau

                           

 

  « Au programme ? »

 

 

Eh bien, que du beau !

C'est parti ! :  

     Le train de la Toussaint à Nice                            

 

 

Du samedi 22 octobre au dimanche 6 novembre 2022, au départ de la Promenade des Anglais, au pied du monument du Centenaire, petits et grands, embarquez à bord du train touristique de Nice 100% électrique et découvrez la ville de Nice et ses trésors à travers l’un de nos deux circuits commentés, disponibles en 8 langues. 

Le circuit « centre-ville » (45 minutes), vous laissera le temps d’admirer les monuments incontournables de la vieille ville, de la place Masséna à l’Eglise Notre-Dame du Port de Nice, en passant par le musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain. 

Le circuit « château » (50 minutes) vous emmènera jusqu’à la colline du château, où vous profiterez d’un arrêt de 10 minutes pour admirer la superbe vue panoramique sur toute la Baie des Anges.

Profitez-en, durant toutes les vacances de la Toussaint, la place enfant (jusqu’à 12 ans) est gratuite, pour tout enfant accompagné d’un adulte ayant acheté un ticket.

Renseignements et achat du ticket à la billetterie, située au départ du train. 

 

 

Offre valable hors groupes sur tous les départs du train, du samedi 22 octobre au dimanche 6 novembre 2022. Dans la limite des places disponibles dans le train. 

 

Dates et horaires :

 

  • Mardi 1 Novembre 2022 de 9h40 à 17h
  • Mercredi 2 Novembre 2022 de 9h40 à 17h
  • Jeudi 3 Novembre 2022 de 9h40 à 17h
  • Vendredi 4 Novembre 2022 de 9h40 à 17h
  • Samedi 5 Novembre 2022 de 9h40 à 17h
  • Dimanche 6 Novembre 2022 de 9h40 à 17h

 

EN ATTENDANT : Résultat d’images pour gif oiseau

Le Questionnaire : Lee Ann Olwage par Carole Schmitz

 

 

The team of #blackdragmagic pose for a group shot at the taxi rank in site C Khayelitsha. This is done as an act of activism to reclaim the township and to stand up against the overwhelming climate of discrimination members of the LGBTQI+ community face in the township. With this portrait the group intends to send a clear message that public and community spaces need to be safe spaces for members of the LGBTQI+ community. Aug. 4, 2019. © Lee-Ann Olwage

 

 Contredire pour entrer en résistance.

Lee-Ann Olwage est originaire de Durban en Afrique du Sud. Conteuse visuelle, son travail explore les thèmes de l’identité, des transitions et des récits universels à travers des projets à long terme. Intéressée par l’utilisation de la photographie comme mode de célébration, ses projets de collaboration permettent aux individus de s’engager dans la co-création de leurs histoires et de la manière dont elles sont représentées.

Pour Lee-Ann Olwage la figuration n’a aucun sens, l’oubli et l’absence sont impossibles. C’est ainsi que la photographe sud-africaine construit plusieurs séries qui parlent de la résistance nécessaire, dont « Black Drag Magic », réalisé dans les faubourgs défavorisés du Cap, au sein d’une communauté particulièrement exposée à la vexation, l’exaction physique et au rejet. Son modèle principale Belinda Qaqamba Ka-Fassie, drag artiste et activiste. Un travail qui a séduit la Bonne Espérance Gallery à Paris. Des images fortes réalisées au fond de terrains vagues où des filles (qui n’en sont pas) prennent la pose dans des robes de soirée montrant la beauté possible et la fierté envisageable de ces Queens du ghetto.

Si la question de la masculinité et de la féminité demeure au centre de ces images, elles évoquent aussi l’éducation, la santé, le soutien aux familles démunies. Pour Lee-Ann Olwage, la photographie est le miroir le plus dur qu’elle connaisse. Son travail est le reflet de cet état d’esprit qu’elle révèle au monde avec pour but : reconstruire un cadre social sur d’autres fondations que la haine et l’exclusion.

Ses images ont ainsi été remarquées par les plus grands médias et ont obtenus plusieurs prix.

 

Votre premier déclic photographique ?
Lee-Ann Olwage : Quand j’avais 28 ans, mon ex-partenaire et moi avions prévu un voyage en Indonésie. Il m’a suggéré d’acheter un appareil photo. Je pensais que c’était une idée stupide et un gaspillage d’argent, mais il a quand même acheté l’appareil. Pendant le voyage, j’ai pris l’appareil photo et je ne l’ai plus jamais posé.

L’homme ou la femme d’image qui vous inspire ?
Lee-Ann Olwage : Je suis surtout inspirée par mes pairs et les artistes contemporains, en particulier ceux qui contribuent à la riche culture visuelle en Afrique.

L’image que vous auriez aimé faire ?
Lee-Ann Olwage : Je considère toujours la photographie comme mon histoire d’amour avec la vie. C’est un moyen pour nous de réfléchir à l’expérience humaine, de traiter nos propres expériences. C’est aussi un reflet visuel extérieur de notre paysage intérieur. J’espère ne jamais cesser de faire des images, car alors cet échange prendra fin.

Celle qui vous a le plus émue ?
Lee-Ann Olwage : L’image de Belinda Qaqamba Kafassie parce que le fait de la réaliser était un acte d’activisme radical et progressiste pour s’élever contre la discrimination dont la communauté homosexuelle est victime dans le township. J’ai toujours voulu que le processus de création d’une image aille au-delà de ce qui se passe devant la caméra et, en créant de cette manière, en faisant de l’image un acte de militantisme, j’ai eu l’impression que nous y sommes parvenus.

Et celle qui vous a mis en colère ?
Lee-Ann Olwage : Ce n’est pas une image qui m’a mise en colère, mais une expérience qui l’entoure. Je photographiais le bal de fin d’études secondaires pour le projet The Dance et un journaliste d’un journal local se trouvait dans la maison de la famille où je travaillais. La famille était très excitée lorsque leur fille est sortie dans sa belle robe de bal et tout le monde s’est rassemblé pour prendre des photos avec son téléphone portable. Le journaliste m’a demandé pourquoi je ne me poussais pas au milieu de la famille pour prendre la photo. En tant que photographes, nous devons savoir quand nous pouvons prendre des photos et quand il faut attendre. Je savais ce moment-là était important et spécial pour la famille et que je devais m’écarter pour qu’ils puissent le partager entre eux. Je savais que j’aurais l’occasion de faire mes photos plus tard. Il est primordial de re connaitre que chaque moment n’est pas une photo à prendre et qu’il est parfois plus important d’être respectueux et de garder ses distances.

Une image clé dans votre panthéon personnel ?
Lee-Ann Olwage : Toutes les images que je crée contribuent à la prochaine image que je fais. En tant qu’artistes, nous sommes faits de tous les moments de notre vie, des gens que nous rencontrons, des lieux que nous visitons. Toutes ces expériences influencent le processus de création d’images et font partie de la mosaïque de votre voix unique en tant qu’artiste. L’image que j’ai créée avec Belinda Qaqamba Kafassie a eu un impact énorme sur mon parcours de conteuse. Je lui suis à jamais reconnaissante de m’avoir fait confiance pour ce projet.

Un souvenir photographique de votre enfance ?
Lee-Ann Olwage : Pour moi, ce n’est pas un souvenir photographique en tant que tel, mais un souvenir qui a eu un grand impact sur moi en tant que conteuse visuelle. Mon grand-père était aussi un conteur et il passait des heures avec moi à raconter des histoires. J’ai adoré cela et, plus tard dans ma vie, j’ai réalisé que nous sommes tous des conteurs, mais que nous utilisons des moyens différents pour le faire. Pour certains, c’est une caméra, pour d’autres, c’est une chanson. Certaines personnes tissent des histoires dans des tapis et d’autres racontent des histoires à travers la danse. Les histoires font partie de nous depuis l’âge de pierre, lorsque les humains les racontaient autour du feu. En ce qui me concerne, j’ai choisi l’appareil photo comme support.

Sans limite de budget, quelle serait l’œuvre que vous rêveriez d’acquérir ?
Lee-Ann Olwage : J’aimerais poursuivre mon travail sur l’éducation des filles dans différentes parties du monde. Si je n’avais aucune limite budgétaire, je parcourrais la planète pour travailler avec des filles aux quatre coins du globe.

Selon vous, quelle est la qualité nécessaire pour être un bon photographe ?
Lee-Ann Olwage : La gentillesse

Le secret de l’image parfaite, s’il existe ?
Lee-Ann Olwage : Pour moi, il s’agit de trouver ma voix unique en tant qu’artiste, puis de trouver un moyen de la traduire dans mon travail. La façon dont nous voyons les choses est notre super pouvoir, donc en développant notre voix, nous sommes capable de faire un travail qui y est fidèle. C’est à mon avis l’image parfaite.

La personne que vous aimeriez photographier ?
Lee-Ann Olwage : La réalisation d’un portrait est un acte si intime que j’apprécie ces interactions que l’on peut partager avec les personnes que l’on photographie. Chaque personne avec laquelle je fais une image me change d’une manière ou d’une autre, donc je ne peux pas vraiment identifier une seule personne que j’aimerais photographier.

Un livre photo indispensable ?
Lee-Ann Olwage : J’adore Hafiz de Sabiha Cimen et Les Aventures de Guille et Belinda d’Alessandra Sanguinetti.

L’appareil photo de votre enfance ?
Lee-Ann Olwage : Je n’avais pas d’appareil photo.

Celui que vous utilisez aujourd’hui ?
Lee-Ann Olwage : Canon R6, Hasselblad 500cm, Pentax K1000

Votre drogue préférée ?
Lee-Ann Olwage : La danse.

Le meilleur moyen de déconnecter pour vous ?
Lee-Ann Olwage : Le camping.

Quelle est votre relation avec l’image ?
Lee-Ann Olwage : Elle est compliquée.

Votre plus grande qualité ?
Lee-Ann Olwage : J’aime à penser que je suis gentille. Et aussi mon imagination et mon enthousiasme.

Une image pour illustrer un nouveau billet de banque ?
Lee-Ann Olwage : Des illustrations amusantes de livres pour enfants.

Le métier que vous n’auriez pas aimé faire ?
Lee-Ann Olwage : Tout travail qui vous maintient dans le même environnement.

Quelles sont, selon vous, les passerelles entre la photographie et le design ?
Lee-Ann Olwage : La photographie et le design s’informent mutuellement et contribuent à la façon dont nous voyons et vivons le monde.

La ville, le pays ou la culture que vous rêvez de découvrir ?
Lee-Ann Olwage : L’Iran

L’endroit dont vous ne vous lassez jamais ?
Lee-Ann Olwage : L’Afrique du Sud.

Votre plus grand regret ?
Lee-Ann Olwage : Me soucier trop de l’opinion des autres.

En termes de réseaux sociaux, êtes-vous plutôt Instagram, Facebook, Tik Tok ou Snapchat et pourquoi ?
Lee-Ann Olwage : Je ne suis pas très douée pour utiliser régulièrement la plupart des plateformes sociales, mais j’aime bien Instagram. Bien que cela ait beaucoup changé et je ne sais pas si cela sert encore vraiment les photographes comme au début.

Couleur ou N&B ?
Lee-Ann Olwage : Mon travail existe à la fois en couleur et en N&B. Cela dépend entièrement du projet et de ce qui servira le mieux l’histoire.

Lumière du jour ou lumière artificielle ?
Lee-Ann Olwage : J’aime les deux. Cela dépend du style d’éclairage qui mettra le mieux en valeur le projet.

Quelle est, selon vous, la ville la plus photogénique ?
Lee-Ann Olwage : Mexico.

Si Dieu existait, lui demanderiez-vous de poser pour vous, ou opteriez-vous pour un selfie avec lui ?
Lee-Ann Olwage : Nous avons tous une vision différente de Dieu. Pour moi, Dieu est dans tout et dans tout le monde et en faisant des images, nous le montrons.

Si je pouvais organiser votre dîner idéal, qui serait à table ?
Lee-Ann Olwage : Les gens que j’aime, ma famille et mes amis.

L’image qui représente pour vous l’état actuel du monde ?
Lee-Ann Olwage : Le monde est en désordre en ce moment et il y a tellement d’images qui le montrent. Je ne voudrais pas mettre cela en avant mais plutôt penser à une image de résilience et de force. Pour moi, c’est l’image d’une femme en Iran avec des gants de boxe rouges par Newsha Tavakolian.

Que manque-t-il dans le monde d’aujourd’hui ?
Lee-Ann Olwage : La capacité de faire une pause et de ralentir.

Si vous deviez tout recommencer ?
Lee-Ann Olwage : Je ferais tout de la même manière mais je ne serais pas aussi dure avec moi-même.

Un dernier mot ?
Lee-Ann Olwage : Cultivez votre voix unique en tant qu’artiste et créez des images à partir de là. Vous êtes important et votre façon de voir le monde est votre super pouvoir.

 

Website : www.leeannolwage.com
Instagram : leeannolwage
Gallery : www.bonne-esperance-gallery.com

 

 

Résultat d’images pour Effet waouh!

                                         

 

 

 

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