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Sortie n° 4958791, créée le 04 03 2023
Les rendez-vous du jardin
Sponsor
Organisateur
Date de la sortie
Heure de début
Samedi 25 Mars 2023

Inscriptions & désinscriptions jusqu'à :
L'heure de la sortie
11:00 (du matin)
Descriptif de la sortie

 

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  « Au programme ? »

 

 

Eh bien, que du beau !

C'est parti ! :  

 

 

 

Théâtre National de Nice

 

Les Rendez-vous du jardin

 

 

 

Les Procès des grands personnages

 

 

        au kiosque du TNN dans la coulée verte,

" les procès des figures de grands personnages en présence d'un avocat" du barreau et d' un comédien de la troupe du TNN

 

 

 

                 LE PROCES DE LA BETE 

 

 

 

 

En cas de pluie ou de météo défavorable, les rendez-vous seront annulés.

 

 

 RDV du jardin

 

 

 

EN ATTENDANT 

 

 

 

La Belle et la Bête

 

 

 

La Belle et la Bête (film, 1946)

INFO :

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« La Belle et la Bête » Par Bruno Bettelheim, extraits de "Psychanalyse des contes de fées" Malgré son titre, il n’y a pas grand-chose de « bestial » dans « la Belle et la Bête. Le père de la Belle est menacé par la Bête, mais tout le monde sait, dès le début, qu’il s’agit d’une menace gratuite qui ne vise qu’à obtenir la compagnie et l’amour de la Belle et la disparition de l’apparence animale du héros. Dans cette histoire, tout se passe en douceur et il n’y a qu’amour et dévouement entre les trois personnages principaux : la Belle, son père et la Bête. Tandis que dans l’histoire qui a donné naissance à tout ce cycle de contes l’amour œdipien d’Aphrodite pour son fils est cruel et destructif, l’amour œdipien de la Belle pour son père, dès qu’il est transféré à son futur mari, a de merveilleuses vertus curatives. Avec « la Belle et le Bête », le cycle se termine en apothéose. Le résumé qui va suivre se fonde sur la version de Mme Leprince de Beaumont (1757) qui puise elle-même dans une autre version du même thème écrite précédemment par Mme de Villeneuve. C’est le texte de la première nommée qui est actuellement le plus connu. A la différence de la plupart des autres versions de « la Belle et la Bête », celle de Mme Leprince de Beaumont met en scène un riche marchand qui n’a pas seulement les trois filles traditionnelles, mais aussi trois fils qui ne jouent qu’un petit rôle dans le conte. Toutes les filles sont très belles, en particulier la plus jeune, qui a été surnommée « la petite beauté », ce qui rend ses sœurs très jalouses. Les deux aînées sont suffisantes et égoïstes, à l’opposé de Belle qui est modeste, charmante et gentille avec tout le monde. Un jour, leur père est ruiné et la famille est réduite à une existence misérable, que les deux aînées supportent très mal, alors que l’heureux caractère de la Belle ne fait que rayonner davantage dans ces circonstances difficiles. Le père doit partir en voyage ; il demande à ses filles ce qu’elles souhaiteraient avoir à son retour. Espérant que leur père rétablira une partie de sa richesse à l’occasion de ce voyage, les deux aînées lui demandent des parures ruineuses ; quant à la Belle, elle ne demande rien. Son père insiste, et elle se contente de solliciter une rose. Malgré ses espoirs, le père doit s’en retourner aussi pauvre qu’avant. Il se perd dans une grande forêt et désespère de retrouver son chemin. Soudain, il découvre un palais ; il y trouve le vivre et le couvert, mais il n’y a pas âme qui vive. Le lendemain matin, avant de repartir, il aperçoit des roses magnifiques et, se souvenant de la requête de la Belle, il en cueille un bouquet. Il est surpris par une bête effroyable qui lui reproche de lui voler des roses après avoir reçu dans son palais un aussi bon accueil. En punition, il doit mourir. Le père le supplie de lui laisser la vie sauve et lui dit que les roses étaient destinées à sa fille. La Bête lui répond qu’elle est d’accord de le laisser partir s’il lui promet de lui envoyer une de ses filles, qui subira le sort qui lui était destiné. Mais si les trois filles refusent, le marchand devra revenir dans trois mois pour mourir. Avant de le laisser partir, la Bête donne au père un coffre rempli d’or. Le marchand a bien l’intention de ne pas sacrifier une de ses filles, mais il accepte le délai de trois mois qui lui permettra de les revoir et de leur apporter le trésor. Revenu chez lui, il donne les roses à la Belle et ne peut s’empêcher de lui raconter ce qui est arrivé. Les trois frères proposent d’aller tuer la Bête, leur père ne le permet pas : ce serait un pur suicide. La Belle insiste pour prendre la place de leur père. Tous les arguments qu’il peut trouver ne la font pas changer d’avis. Elle partira. Les deux sœurs, grâce à l’or, font un beau mariage. Quand les trois mois sont sur le point de s’écouler, le père, accompagné malgré lui par la Belle, se met en route vers le palais de la Bête. Celle-ci demande à la Belle si elle est venue de sa propre volonté ; « oui », dit-elle, et le père peut alors s’en aller le cœur gros. La Bête traite royalement la Belle dans son palais. Tous ses désirs sont exaucés comme par enchantement. Chaque soir, pendant le repas, la Bête vient passer un moment avec la Belle. Chaque fois, la jeune fille attend ce moment avec impatience, tant elle trouve les journées longues. La seule chose qui l’ennuie, c’est qu’à la fin de chacune de ses visites, la Bête lui demande d’être sa femme ; elle l’éconduit avec douceur, et la Bête s’en va très triste. Trois mois se passent ainsi. La Belle refuse une fois de plus le mariage, et la Bête lui fait promettre tout au moins de ne jamais l’abandonner. Elle le promet et demande la permission d’aller voir son père : elle a vu dans un miroir ce qui se passe dans son ancienne maison ; son père se languit d’elle. Elle obtient une semaine pour faire le voyage, mais elle sait que la Bête mourra si elle ne revient pas. Le lendemain matin, elle retrouve son père qui est transporté de joie. Ses frères sont partis servir dans l’armée. Ses sœurs, qui ont fait un mariage malheureux, décident par jalousie de retenir la Belle au-delà de la semaine accordée, en espérant que la Bête viendra la tuer. La Belle accepte de prolonger son séjour d’une semaine. Au cours de la dixième nuit passée chez elle, elle revoit en rêve la Bête qui lui reproche d’une voix mourante de ne pas avoir tenu sa promesse. Elle souhaite vivement d’être auprès de la Bête et se retrouve aussitôt transportée au palais, où la Bête se meurt. Au cours de son séjour chez son père, la Belle a compris combien elle était attachée à la Bête ; la voyant si désespérée, elle se rend compte qu’elle l’aime et lui dit qu’elle ne peut vivre sans elle et qu’elle veut l’épouser. Au moment même, la Bête se transforme en prince. Le père, fou de joie, et le reste de la famille viennent les rejoindre. Les méchantes sœurs sont transformées en statues. Elles resteront dans cet état jusqu’au moment où elles reconnaîtront leurs fautes. Dans toutes ces histoires, les événements fatidiques sont provoqués par un père qui vole des roses pour les apporter à sa fille bien-aimée. Ce geste symbolise l’amour qu’il éprouve pour elle et aussi une anticipation de la perte de sa virginité ; la fleur brisée – la rose en particulier – est le symbole de la défloration. Cette dernière apparaît, au père comme à la fille, comme un acte « bestial ». Mais l’histoire dit que leurs appréhensions étaient injustifiées. Ce qui est redouté comme un acte bestial devient une expérience de profonde humanité et d’amour. Si on compare « Barbe-Bleue » à « La Belle et la Bête », on peut dire que la première histoire présente les aspects primitifs, agressifs et égoïstement destructifs du sexe, qu’il faut dépasser pour que l’amour puisse s’épanouir, tandis que la seconde raconte ce qu’est un véritable amour. Le comportement de Barbe-Bleue correspond à son apparence menaçante ; la Bête, malgré son aspect, est une personne aussi belle que la Belle. Ce conte, contrairement à ce que peuvent être les craintes de l’enfant, affirme à l’auditeur que, malgré leur apparence différente, l’homme et la femme peuvent réaliser une union parfaite si leurs personnalités se conviennent et s’ils sont liés l’un à l’autre par l’amour. Alors que « Barbe-Bleue » correspond aux pires craintes de l’enfant en ce qui concerne la sexualité, « La Belle et la Bête » lui donne la force de comprendre que ses peurs sont l’œuvre de ses fantasmes d’angoisse sexuelle ; et que, bien que le sexe puisse d’abord apparaître sous un aspect animal, l’amour entre l’homme et la femme est en réalité le plus satisfaisant de tous les sentiments et qui puisse assurer un bonheur permanent. « Cendrillon » expose magistralement la nature destructive de la jalousie œdipienne non résolue et violemment exprimée par l’un des parents à l’égard de son enfant. « La Belle et la Bête », mieux que tout autre conte de fées bien connu, exprime avec évidence que l’attachement œdipien de l’enfant est naturel, désirable, et qu’il a les conséquences les plus positives si, durant le processus de maturation, il est transféré et transformé en se détachant du père (ou de la mère) pour se fixer sur le partenaire sexuel. Nos attachements œdipiens, loin d’être la source de nos plus grandes difficultés affectives (qu’ils peuvent être s’ils n’évoluent pas convenablement au cours de la croissance), sont le terrain où croit le bonheur permanent à condition que l’évolution se passe bien et vienne à bout de ces sentiments infantiles. Ce conte évoque l’attachement œdipien de la Belle pour son père non seulement en nous disant qu’elle lui demande une rose, mais aussi en nous racontant en détail que les deux sœurs allaient faire la fête avec leurs galants pendant que la Belle restait à la maison et écartait ses prétendants, alléguant qu’elle était trop jeune pour se marier et qu’elle désirait rester avec son père pendant quelques années encore. Comme elle ne rejoint la Bête que par amour pour son père, elle ne peut avoir avec elle que des rapports non sexuels. Le palais de la Bête où les moindres désirs de la Belle sont immédiatement comblés est un fantasme narcissique typiquement propre aux enfants. Rares sont en effet les enfants qui, à un moment ou à un autre, n’ont pas désiré une existence où on n’exigerait rien d’eux et où il suffirait d’exprimer un désir pour le voir aussitôt satisfait. Le conte dit que cette vie rêvée, loin d’être satisfaisante, devient vite ennuyeuse et vide, à tel point que la Belle attend impatiemment les visites nocturnes de la Bête qu’auparavant elle redoutait. Si rien ne venait interrompre ce rêve narcissique, il n’y aurait pas d’histoire ; le conte de fées enseigne que le narcissisme, malgré son aspect séduisant, n’apporte pas une vie riche en satisfactions, et qu’il est même la négation de la vie. La Belle se réveille à la vie quand elle apprend que son père a besoin d’elle. Dans certaines versions du conte, il est tombé très malade ; dans d’autres, il se languit d’elle ou se trouve plongé dans une immense tristesse. Sachant cela, le narcissisme de la Belle vole en éclats ; elle commence à agir et reprend vie en même temps que l’histoire. Précipitée dans un conflit qui oppose son amour pour son père aux besoins de la Bête, la Belle abandonne la Bête pour s’occuper de son père. Mais elle comprend alors combien elle aime la Bête, ce qui montre symboliquement que les liens qui l’unissaient à son père se sont relâchés et qu’elle a transféré son amour. Dès que la Belle a décidé de quitter la maison paternelle pour vivre avec la Bête (autrement dit, après avoir résolu son conflit œdipien), la sexualité, autrefois repoussée, devient belle à ses yeux. Ce conte anticipe de plusieurs siècles l’idée freudienne que le sexe doit être expérimenté par l’enfant comme quelque chose de repoussant tant que ses désirs sexuels sont reliés à ses parents ; seule cette attitude négative vis-à-vis de la sexualité peut respecter le tabou de l’inceste, et avec lui, la stabilité de la famille humaine. Mais quand le jeune se détache de ses parents et se tourne vers un partenaire de la même classe d’âge, les désirs sexuels, au cours d’une évolution normale, perdent leur aspect animal et, au contraire, sont exprimés comme quelque chose de beau. « La Belle et la Bête », en illustrant les aspects positifs de l’attachement œdipien de l’enfant et en montrant comment il doit évoluer, mérite pleinement les louanges que lui décernent Iona et Peter Opie dans leur étude sur les contes de fées classiques. Ils l’appellent « le plus symbolique des contes de fées, après « Cendrillon », et le plus satisfaisant ». (Dans « Cendrillon », l’enfant ne peut devenir lui-même que lorsque la mère est vaincue.) « La Belle et la Bête » s’ouvre sur une perspective immature qui attribue à l’homme une existence dédoublée, comme animal et comme esprit (symbolisé par la Belle). Au cours du processus de maturation, cette dualité artificielle doit être unifiée ; cela seul permet d’atteindre un accomplissement humain total. Dans ce conte, il n’y a plus de ces secrets sexuels qui doivent rester inconnus, et qui, pour être enfin découverts, nécessitent un voyage long et difficile qui aboutit à la découverte de soi avant que le happy end puisse avoir lieu. Au contraire, dans « La Belle et la Bête », il est hautement désirable que la vraie nature de la Bête soit révélée. La découverte de ce qu’elle est réellement, ou plus précisément, de la personne bonne et aimante qu’elle est en réalité, conduit tout droit à la conclusion heureuse. L’essence de l’histoire n’est pas seulement les progrès de l’amour de la Belle pour la Bête, ni même le transfert de son attachement à son père, mais sa propre évolution au cours du processus. En constatant qu’elle doit choisir entre son amour pour son père et son amour pour la Bête, elle se rend compte peu à peu que l’idée d’opposer ces deux amours est un point de vue immature. En transférant sur son futur mari l’amour œdipien originel qu’elle éprouvait pour son père, la Belle peut donner à celui-ci le genre d’affection qui lui sera le plus bénéfique : une affection qui rétablit sa santé chancelante et lui procure une vie heureuse à proximité de sa fille bienaimée. En même temps, la Belle rend à la Bête son aspect humain et les deux héros pourront connaître une vie conjugale sans nuages. Le mariage de la Belle et de l’ex-Bête est l’expression symbolique de la cicatrisation de la coupure qui sépare l’aspect animal de l’homme et son aspect supérieur ; cette scission est décrite comme une maladie : dès qu’ils sont séparés de la Belle et de ce qu’elle symbolise, le père puis la Bête manquent de mourir. C’est aussi le point final d’une évolution qui va d’une sexualité égoïste, immature, (phallique-agressive-destructive) à une sexualité qui trouve son accomplissement dans le dénouement d’une relation humaine profonde : la Bête est moribonde parce qu’elle est séparée de la Belle qui est à la fois la femme aimée et Psyché, notre âme. Au terme de son évolution, la Belle doit s’engager librement dans leur relation amoureuse. C’est pourquoi la Bête, au début du conte, accepte qu’elle remplace son père dès qu’elle lui affirme qu’elle le fait de son plein gré ; c’est pourquoi, lui demandant avec insistance de l’épouser, la Bête essuie des refus sans protester ; c’est pourquoi la Bête ne fait pas un geste vers elle avant qu’elle déclare spontanément son amour. Pour traduire l’expression poétique du conte de fées dans le langage terre à terre de la psychanalyse, le mariage de la Belle et de la Bête est l’humanisation du Ça par le Surmoi. De même que l’union de Cupidon et de Psyché donne naissance à un enfant nommé « Plaisir » ou « Joie », le moi peut nous procurer les satisfactions indispensables à une vie heureuse. Le conte de fées, contrairement au mythe, n’a pas besoin de s’étendre sur les avantages que les deux partenaires tirent de leur union. Il se sert d’une image plus impressionnante : un monde où le bon vit heureux et où les méchants (les sœurs) ont une possibilité de rachat. Tout conte de fées est un miroir magique qui reflète certains aspects de notre univers intérieur et des démarches qu’exige notre passage de l’immaturité à la maturité. Pour ceux qui se plongent dans ce que le conte de fées a à communiquer, il devient un lac paisible qui semble d’abord refléter notre image ; mais derrière cette image, nous découvrons bientôt le tumulte intérieur de notre esprit, sa profondeur et la manière de nous mettre en paix avec lui et le monde extérieur, ce qui nous récompense de nos efforts. Tous ces contes de fées nous montrent que les conflits des générations sont vieux comme le monde. Mais ils disent aussi que là où le conflit existe, ce sont les parents qui en sont responsables, en raison de leur repliement sur eux-mêmes et de leur manque de sensibilité à l’égard des besoins légitimes de l’enfant. « La Belle et la Bête » nous dit que l’amour des parents pour leur enfant est, lui aussi, vieux comme le monde, de même que l’amour de l’enfant pour ses parents. C’est une tendre affection qui permet l’épanouissement d’un amour différent qui liera l’enfant mûri à l’être qu’il aime. Quelle que soit la réalité, l’enfant qui écoute le conte de fées en vient à croire que, par amour pour lui, son père est prêt à risquer sa vie pour lui rapporter ce cadeau qu’il désire pardessus tout. Le même enfant croit en même temps qu’il est digne de ce dévouement, parce qu’il serait prêt à sacrifier lui-même sa vie par amour pour son père. Ainsi, l’enfant grandira pour apporter paix et bonheur même à ceux qui ont le malheur de ressembler à des bêtes. En se comportant ainsi, l’enfant, plus tard, assurera son propre bonheur et celui du partenaire de sa vie, ainsi que celui de ses parents. Il sera en paix avec lui-même et avec le monde. Telle est l’une des innombrables vérités contenues dans les contes de fées et qui peuvent nous servir de guide ; une vérité aussi valable aujourd’hui que du temps où « les bêtes parlaient ». Bruno Bettelheim, extraits de "Psychanalyse des contes de fées" - Le fiancé – animal dans les contes de fées

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