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EN JANVIER
EXPOSITION
Nice d’hier… dans l’objectif de Charles Bébert
L’exposition Nice d’hier… dans l’objectif de Charles Bébert nous plonge dans une époque révolue, celle des années 60, 70 et 80, au cœur de la ville de Nice.
À travers une série de photographies en noir et blanc sur papier argentique, prises par le talentueux journaliste-reporter-photographe Charles Bébert, cette exposition fait revivre des lieux emblématiques de la capitale azuréenne, tout en évoquant une nostalgie douce du passé.
Le Nice d’autrefois
La Promenade des Anglais, la Place Masséna, l’avenue Jean Médecin (anciennement avenue de la Victoire), le Port de Nice… Ces lieux symboliques de la ville ont été immortalisés par l’œil sensible de Charles Bébert, créant ainsi une archive visuelle unique de la cité niçoise. Chaque cliché raconte une histoire, celle d’une ville en pleine évolution, mais aussi celle de ses habitants, acteurs et témoins de la vie quotidienne à cette époque.
Les célébrités et les anonymes
Trait d’union entre ces images, des célébrités venues goûter à la douceur de vivre de la Côte d’Azur se mêlent aux niçois et niçoises capturés dans leur vie de tous les jours. Un vendeur de journaux à son kiosque, des voyageurs arrivant à la Gare de Nice, des supporters au Stade du Ray, tous ces moments capturés par Charles Bébert offrent une plongée intime et authentique dans le Nice d’hier.
Un regard intime et universel
L’exposition met également en lumière le travail d’archives réalisé par son fils, Stéphane Bébert, qui a redécouvert ces trésors photographiques parmi les milliers de négatifs conservés dans le fonds d’archives Chasseur d’images. Ce regard intime sur une époque révolue vient en complément de l’exposition Nice, ma ville, mon quartier présentée à la Villa Masséna, proposant ainsi un autre regard sur la ville et ses quartiers à travers une autre période de son histoire.
Un héritage photographique
Charles Bébert, né à Oran en 1936, a été initié à la photographie dès l’âge de 14 ans aux côtés de son père. Ensemble, ils ont fondé l’enseigne Chasseur d’images. Installé à Nice en 1963, il y a trouvé une douceur de vivre qui lui rappelait ses racines méditerranéennes. Correspondant pour plusieurs agences de presse, en France et à l’international, pendant plus de 50 ans, Bébert a capturé certains des plus grands événements ayant marqué la Côte d’Azur. Aujourd’hui âgé de 88 ans, Charles Bébert continue de parcourir les rues, appareil photo en bandoulière, prêt à immortaliser les moments précieux du quotidien.
RESPECT CGU
EN ATTENDANT INFO :
L'émotion sert-elle dans la prise de décision?
Faut-il toujours être 100% rationnel?

Nous associons souvent la prise de décision avec la rationalité. Décider impliquerait une certaine neutralité dans nos têtes afin de s’assurer de la justesse de nos choix. Or, pour certains penseurs et le professeur en sciences économiques de l’université de Bordeaux Emmanuel Petit, cela ne fonctionne pas ainsi. Les émotions seraient au contraire un moteur à considérer bien plus important au moment de choisir.
La racine latine d’émotion, « exmovere », suppose du mouvement. Elle permet une spontanéité pratique dans les moments où nous devons réagir rapidement. Elle nous offre la possibilité de sortir de l’indécision en nous poussant vers un choix. Cela peut même servir d’outil d’échange, de négociation ou de menace, comme lorsque Vladimir Poutine use de son grand labrador près de l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel, traumatisée par un incident avec un chien dans l’enfance.
Enfin, elle est aussi importante dans les questions éthiques. Si certains dilemmes activent la part utilitariste de notre cerveau, des éléments plus émotifs peuvent mener à un changement déterminant dans la prise de décision. L’émotion n’est donc pas à craindre mais plutôt à comprendre et considérer dans une partie des choix que nous faisons.
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