La musique de JEYO est à son image : joyeuse, chaleureuse et fédératrice. Ce globe-zikeur ?nous embarque sur des airs aussi métissés que festifs, avec des textes franco-espagnols. De la cumbia ensoleillée, du swing pimenté, des rumbas endiablées, le tout avec une touche électronisée…
C’est dans ses racines qu’il puise la sincérité qui caractérise son style et sa personnalité. Artiste autodidacte, pianiste et ingénieur de formation, pour JEYO, la musique est un langage universel, une vibration pure.
Durant 4 ans de voyages, de l’Inde au Mexique en passant par le Brésil ou Cuba, c’est par la musique qu’il s’intègre à la population. Loin de ses repères, il la voit alors comme une invitation à s’ouvrir aux autres, à danser et à se rencontrer. C'est au fil d'un énième périple que cet ancien ingénieur découvre sa mission de vie : propager sa bonne humeur? en chanson. Depuis, il arpente les routes de France et d’ailleurs et se produit en live grâce au super travail de son tourneur Come On Tour. Il propose une musique à la croisée des chemins, inspirée par des artistes comme Manu Chao ou Zoufris Maracas.
Soirée offerte par la Mairie.
Martin Stahl a du style. 27 ans, un tempérament flamboyant doublé d’une sensibilité à fleur de peau qu’il distille dans des mélodies pop-folk vibrantes à la Damien Rice ou Matt Corby. On est vite emporté par sa voix à la douceur dangereuse et son univers romantico-sentimental avec une touche rock indie.
Chez ce songwriter raffiné, bosseur et méthodique, la musique, c’est de famille. La mélancolie, aussi. « On est tous hyper dark, limite famille Addams. Assez bipolaires aussi. On rit, la minute d’après, on pleure. Dans mes textes, je peux être très noir, c’est ma manière à moi de canaliser mon angoisse ».
À le voir, solaire et facétieux, on a du mal à le croire. Pourtant, il suffit d’écouter son single « Rise », et ses apocalyptiques images de ciel qui s’effondre et de ponts en flammes pour s’en convaincre : Martin Stahl s’ y connaît en matière d’exorcisme.
Soirée offerte par le département dans le cadre des Soirées estivales.
Gipsy Luna c’est le mariage entre les gitans du sud de la France aux musiques traditionnelles, et les solos de guitare de Philippe Loli aux compositions inspirées de la rumba gitane et du flamenco.
Le groupe se produit depuis 1995 dans la région PACA et en Europe. Leur répertoire est varié et très festif. Parfait pour enflammer le public !
Soirée offerte par le département dans le cadre des Soirées estivales.
5 ans après son premier album « Kanta Pa Skece », l’auteur-compositeur-interprète franco-capverdien Carlos G. Lopes continue de creuser un sillon qui lui ressemble, celui d’un pont qui relie le Cap-Vert, sa terre natale, à la France, où il est arrivé à l’âge de 10 ans.
Cet artiste qui a grandi à Nice, incarne à lui seul le concept de « créolité », cette façon d’être et de vivre « ici et maintenant », en assumant ses racines, son passé et sa double-culture. Cette identité en constante évolution se reflète dans sa musique. Si les sonorités invitent au voyage dans les îles capverdiennes, elles évoquent aussi les inspirations du musicien, au carrefour entre la musique traditionnelle du pays (funana, morna), des styles plus contemporains comme le soul jazz ou encore le RnB.
Signe distinctif du lien indéfectible avec sa terre natale, il arbore souvent une oreille peinte en bleu, signal fort indiquant que sa musique est pleine de couleurs, celles du ciel, de la mer, des lieux et des rêves de son enfance…
Soirée offerte par la Mairie.