Plantes pour tous revient à nice
Date de la sortie
Heure de début
10:00 (du matin)
Descriptif de la sortie
Sortie gratuite
étés par an
EN OCTOBRE
Plantes Pour Tous revient à Nice
Dimanche 27 octobre de 10h à 17h
Réservation gratuite de son créneau : https://plantes-pour-tous-nice.eventbrite.fr
Une jungle attend les visiteurs pour une nouvelle Grande Vente de Plantes avec un maximum de plantes à prix mini (à partir de 0,99€), des pots et des cache-pots pour pimper ses plantes et sa déco, des chariots anti-gaspi avec des plantes en quête d'amour jusqu'à -50% pour lutter contre le gaspillage. Un système de billetterie permet de réserver son créneau gratuitement afin d'éviter la file d'attente mais aussi pour permettre à l'équipe Plantes Pour Tous d'optimiser sa sélection :
Depuis 2017, Plantes Pour Tous part chaque week-end à la rencontre de ses Plant Lovers aux quatre coins de la France et de l'Europe et propose des plantes en direct des producteurs et à prix honnête, le tout dans une démarche durable.
RESPECT CGU
EN ATTENDANT :
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L’enfant entre surprotection et surexposition aux écrans ?
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La violence subie par les enfants était-elle plus répandue et brutale par le passé, quand la mortalité infantile était massive, quand aucun droit ne protégeait l’enfance, quand les enfants travaillaient dans les ateliers et les manufactures, quand les châtiments corporels étaient d’usage courant, qu’il soit familial et scolaire, et lorsque la sécurité était non-assurée dans l’espace civil ? Ce qui ne fait point de doute, c’est que les formes de violence auxquelles l’enfant est aujourd’hui exposé sont plus diffuses, subtiles, incontrôlables et, bien que les abus réels, la maltraitance, l’abandon affectif continuent évidemment d’exister, elles passent le plus souvent par l’image. Jamais, dans l’histoire, les enfants n’ont été confrontés à des flux médiatiques charriant tant de (re)présentations traumatiques et toxiques de guerres, d’épidémies, de massacres, de tortures, de tremblements de terre, de tempêtes destructrices, d’actes de terrorisme, de figures et vidéos pornographiques – et jamais ils ne se sont trouvés, tous, sous la même menace ou imminence d’être harcelés ou de subir quelque humiliation via les réseaux sociaux. Il n’est donc pas exagéré de dire que les enfants sont de nos jours surexposés à la violence. Mais comment les enfants, les parents, les éducateurs, les psychologues, la société tout entière peuvent-ils réduire ou effacer cette présence constante de la violence ? Faut-il, à la sur-exposition, opposer une sur-protection ? Quelle forme celle-ci pourrait-elle et devrait-elle avoir ? Faudrait-il qu’elle enferme l’enfant dans le cocon familial, où d’autres violences peuvent se manifester, qu’elle le prive des moyens de communication, qu’elle l’isole – au risque de compromettre son évolution, qui passe par le rapport à autrui, amical souvent, polémique de temps en temps, gratifiant et terrifiant, vecteur de sécurité et porteur de menace souvent – mais toujours nécessaire ?
L'enfant entre surprotection et surexposition aux écrans ?