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Sortie n° 5268311, créée le 19 12 2024
Pouvoir faner, vouloir fleurir
Sponsor
Organisateur
Loiseau
Date de la sortie
Heure de début
Vendredi 07 Février 2025

Inscriptions & désinscriptions jusqu'à :
L'heure de la sortie
14:00
Descriptif de la sortie
Sortie gratuite 

 

 

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  étés par an

 

                                             FEVRIER 

 

 

 

 

Exposition

 

 

Pouvoir faner, vouloir fleurir

 

 

Marc Chevalier

 

 

                       Pouvoir faner, vouloir fleurir

 

Diplômé de la Villa Arson à Nice en 1993, Marc Chevalier participe à la création de La Station (artist run space) en 1996. Après un parcours artistique qui le mène de Paris à Berlin, il revient en 2012 à Nice, où il poursuit aujourd'hui ses expérimentations. Pour lui, l'idée ne précède pas l'oeuvre, elle s'élabore durant la fabrication de celle-ci, au gré d'actions et de rétro-actions entre forme et contenu.

Artiste à la pratique protéiforme, il explore différents modes d'expression, refusant de se limiter à un seul langage artistique; ainsi l'on peut voir transparaître au travers d'une sculpture les rémanences d'un dessin, d'une peinture ou d'une performance. Chaque oeuvre témoigne d'une inspiration multi-médiumnique, par laquelle la perception du regardeur se construit et s'affine. Marc Chevalier donne l'impulsion à une prise de recul, il nous convie à faire l'expérience d'une contemplation active.

À l'étage, projection du film Kilomètre 84, Jacques Perrin de Sandrine Perrin

Kilomètre 84, Jacques Perrin a été réalisé à partir d'images et de sons captés par un dispositif autonome : la boîte noire d'une voiture, témoin impassible d'une situation critique. Un plan-fixe déroule les images d'un accident ; les passagers du véhicule frôlent la mort et son ombre planera sur tout le film. Puis, d'autres protagonistes entrent en jeu, via les conversations téléphoniques enregistrées à l'intérieur de l'habitacle : La famille proche, les secours. Tous se trouvent pris dans une bande son parfois chaotique, tandis qu'à l'écran s'écoule le flux banal d'une autoroute de vacances. Le film s'écrit seul, servi par un présent qui semble soudain traversé par un arc électrique fictionnel. Le réel se transpose dans un double aux accents tragi-comiques, où se révèle la condition humaine.

 

 

RESPECT CGU 

 

 

EN ATTENDANT : 

Je vous avais dit pour le brushing. Mais oui, c’est elle Matilda.

 

Non, je vous promets, ce n’est pas une blague.

Le marché de l’influence en France, en 2024, pèse 6,5 milliards d’euros. Une industrie florissante, donc, et pourtant, mon feed cette semaine ne parlait que d’une chose : les accusations de harcèlement moral et de grossophobie à l’encontre de Matilda Djerf, la fondatrice de Djerf Avenue. Oui, Matilda, alias « la meuf avec le plus beau brushing d’Instagram », aurait demandé à une employée de nettoyer ses toilettes personnelles. Charmant, non ?

Mais ce n’est pas ça qui m’a fait lever les yeux au ciel. Ce qui m’a frappée, c’est à quel point ce schéma est devenu… banal. Une influenceuse à succès qui monte sa boîte et finit accusée d’être une mauvaise boss ? Rien de nouveau sous le soleil. Frustrant, oui, mais pas étonnant. Pourtant, en creusant un peu, on réalise que le problème va bien au-delà de Matilda et de son (très) mauvais sens du management. Spoiler : nous, les followers, avons une part de responsabilité là-dedans. Ce n’est pas une simple affaire de réseaux sociaux qui s’emballent : on est face à une dynamique plus vaste et plus toxique. Je m’explique. 

 

Avoue, toi aussi, tu as remarqué que toutes les influenceuses semblent avoir lancé leur marque de vêtements, de cosmétiques ou de déco ces dernières années. Ce n’est pas juste une coïncidence : avec la saturation croissante du marché des contenus sponsorisés, elles ont dû trouver de nouvelles sources de revenus. Et quoi de plus naturel, pour ces stars du lifestyle, que de monétiser leur image ? Leur apparence et leur style de vie deviennent des produits à part entière.

Mais passer du rôle de créatrice de contenu à celui d’entrepreneure, c’est une autre paire de manches. Ces femmes, talentueuses dans leur domaine, se retrouvent catapultées à la tête d’entreprises sans formation ni expérience préalable. Pire encore, elles incarnent des marques bâties sur des valeurs fortes, comme l’inclusivité ou la durabilité. Le défi ? Traduire ces idéaux dans une stratégie business tout en répondant aux attentes démesurées de leurs communautés. En gros : il ne suffit pas de vendre des vêtements, il faut aussi sauver la planète et révolutionner l’industrie. C’est un numéro d’équilibriste où le moindre faux pas est impardonnable.

Quelques-unes tirent leur épingle du jeu. Léna Situations a transformé Hôtel Mahfouf en phénomène culturel, et Jeanne Damas a fait de Rouje un succès grâce à un partenariat stratégique avec le fondateur de Swildens, Jérôme Basselier. Kim Kardashian, quant à elle, s’appuie sur des experts comme Jens et Emma Grede pour faire de Skims un empire. Mais toutes n’ont pas cette chance. Anne-Laure Mais (Adenorah sur Instagram) et Laury Thilleman, par exemple, ont dû chercher un repreneur pour leurs marques après des difficultés.

 

Et pour celles qui échouent, c’est souvent à cause de deux problèmes majeurs. D’abord, l’erreur classique du débutant. En temps normal, un faux pas dans une jeune entreprise passe inaperçu. Mais quand on a des centaines de milliers de followers qui analysent chaque décision, une simple maladresse devient un scandale public. Ensuite, il y a le volet RH. Le management, c’est un métier. Et pour une influenceuse qui n’a jamais été formée au management d’une équipe, le risque de mal gérer ses employés est énorme. Ce n’est rien contre les personnes en elle-même : quand on ne sait, on ne peut pas l’inventer. Alors, quand ces créatrices, qui prônent la bienveillance et les good vibes, se retrouvent accusées de comportements toxiques, c’est le scandale. Leur communauté, qui les voyait comme des modèles, se sent trahie. Résultat ? La machine à scandale s’emballe.

Ce qu’il faut retenir, c’est que ces influenceuses ne sont pas seulement des entrepreneures. Elles sont aussi des miroirs de nos propres attentes. En les suivant, en les encensant, on participe à créer ces pressions absurdes. Bien sûr, cela n’excuse pas les comportements inappropriés, surtout pas. Cela nous renvoie à une vérité simple: idéaliser, être fan de quelqu’un, c’est forcément courir à la déception. Alors s’il ne s’agit surtout pas de laisser passer des comportements inappropriés, il s’agit aussi de prendre du recul par rapport à ces influenceuses qui se lancent dans l’entrepreneuriat. Elles sont comme tout le monde à leurs débuts : des débutantes. Elles osent, elles essaient, elles se lancent, elles se plantent et c’est normal. 

 

 

Résultat d’images pour Effet waouh!

                                         

 

 

 

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