JUIN
Jeudi 19 juin 2025
Le peintre et écrivain de renommée internationale Haralampi G. Oroschakoff présente ses dernières œuvres à la galerie Depardieu. Il s'agit de sa troisième exposition individuelle dans cette importante galerie située au cœur de Nice.
La série « Prêt-à-porter » présentée ici a été réalisée entre 2015 et 2024 et se compose de 11 peintures, 32 œuvres sur papier, ainsi que de 5 objets bijoux en cire, argent, zircon/or et céramique.
"Le prêt-à-porter, la mode vestimentaire prête à porter, en taille standard et à l'état fini, s'oppose à la haute couture surmesure. C'est Yves Saint Laurent qui a présenté le premier défilé de prêt-à-porter sur le podium en 1960,même si Pierre Cardin en était le véritable inventeur.
La série du même nom se réfère à cet acte révolutionnaire de « démocratisation » de la mode, avec tous les triomphes et drames qui ont suivi dans la mondialisation inéluctable du quotidien.
Si le style est lié au raffinement et à l'obstination, l'art en est la contribution subversive et individualisée. Si la beauté oblige toujours, son invention est un acte individuel".
RESPECT CGU
EN ATTENDANT Info :
Il est tempsLa mission "mineurs-armes blanches" déclenchée par Bayrou après le drame de Nantes remettait son rapport. Elle constatait "une violence juvénile de plus en plus armée" et présentait une cinquantaine de propositions. Il est temps. Alors que les mineurs de 13 à 17 ans constituent 6% de la population totale dans notre pays, ils concentrent 37% des violences avec arme blanche et ces armes sont impliquées dans 57% des homicides commis par des mineurs. Et surtout, "il n'y a pas de profil type (d'agresseur)" et "n'importe quel territoire est aujourd'hui concerné". Ce qui est proposé : • "Interdire à la vente, directe comme en ligne, les armes zombies [= couteaux à double tranchant et lame incurvée prisés chez les adolescents]" et "traquer la vente de couteaux sur les réseaux sociaux" • "Inscrire dans la loi le déploiement obligatoire de la vidéoprotection à l'entrée des établissements". • Créer "une circonstance aggravante au délit de port d'une arme sans motif légitime commis aux abords d'un établissement scolaire" et "poursuivre la réflexion sur les peines minimales". • Mettre en place une expertise psychiatrique "dans les 24 à 48 heures (…) à partir des tout premiers signalements de désordre psychologique (sur un jeune)". Il est temps.
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