La vie n'est faite que de partage et de rencontres, il faut en retirer le meilleur.
Ces phrases résonnent en moi:
" La vie est un brouillon que l'on ne peut pas remettre au propre"
"La sobriété est facteur de bonheur parce qu'elle est libératrice. Si j'en veux toujours plus, quant suis-je satisfait ? "
"si tu veux faire le bien, prépare toi à l'ingratitude"
"le bonheur n'est pas au bout du chemin, il est le chemin"
"tout seul on vas vite, ensemble on vas plus loin"
"Personne ne te surveille plus que les gens
qui t'aiment pas"
"Il n'y a pas d'étrangers, il a que des gens que je connais pas encore"
"On met toute une vie à réussir du jour au lendemain" Coluche
"C'est pas parce que tu m'as perdu en ami , que tu m'a gagné en ennemis"
"L'espérance est le rêve de tout homme éveillé" (Aristote)
"Nous ne désirons pas une chose parce qu'elle est bonne, mais nous la jugeons bonne parce que nous la désirons" (Baruch Spinoza)
"Protègez moi de mes amis, mes ennenis je m'en charge"
Je suis organisateur depuis 17 ans (7000 sorties) , j'ai eu la chance de rencontrer des milliers de gens qui m'ont laissé quelque chose en moi. Je ne crois pas qu'il y ait de mauvaises personnes, il y a ceux avec qui on fonctionne et les autres ! Si je ne vous conviens pas, pas de soucis, évitez moi !
OVS est un formidable reflet de la socièté avec ses bons et ses mauvais cotés. Aucun sytème n'est parfait et tant mieux.


MES TEXTES DE CHANSONS
Grand corps malade - Leila Beiki "le sens de la famille"
https://youtu.be/jaEmsZYCn24
« J'ai un peu de mal à imaginer ma vie sans mes proches,
Quand je dis un peu de mal, en fait, je ne l'imagine pas du tout.
Ils sont mes repères, mes bases, mes compliments, mes reproches
Sans eux, je ne suis pas entière, je ne les veux pas loin, souvent, partout
Avec eux, on n'a pas peur du silence, on n'a rien à se prouver.
Une sorte d'équipe sans remplaçant, sans capitaine.
Dans cette équipe, tu ris, tu râles, tu progresses, tu veux rester très loin du star-système où tu restes tard si t'aime.
Si jamais je devais tout perdre, si la roue faisait demi-tour,
Je n'aurais besoin que de leur présence pour que la vie reste facile.
Peu importe ce qu'il y a sur la table, ce qui compte c'est qui il y a autour.
Ce que je ressens, je veux leur dire
Je crois que j'ai le sens de la famille
J'ai un peu de mal à imaginer ma vie sans proches,
Quand je dis un peu de mal, en fait, je ne l'imagine pas du tout.
C'est avec eux que j'avance, de la sérénité plein les poches
S'ils ne le partagent pas avec moi, aucun bonheur ne vaut le coup
Et à l'inverse, il n'y a rien qui me fasse plus de peine
Qu'imaginer leur visage au moment où ils ont appris que mes 20 ans seraient cruels, que mon avenir s'annonçait terne.
Le drame ça se partage, mais ça n'apaise pas l'esprit
Ils m'ont transmis tout ce que j'aimerais transmettre à mon tour
C'est grâce à eux si je suis en paix et que je ne pars pas en vrille.
Leur humanité sans trompette, leur bienveillance sans détour
Ce que je leur dois, je veux leur dire
Je crois que j'ai le sens de la famille
Évidemment quand t'es maman, ton cœur explose et pour toujours
On te confie le rôle ultime, celui qui te change viscéralement,
Tu ne savais pas que c'était possible de générer autant d'amour
Je ne trouve pas de mots assez forts, c'est tellement, tellement…
Évidemment quand t'es daron, toutes les cartes sont redistribuées
Ils sont dans ma tête, dans mon ventre, dans mon sang chaque seconde,
Je n'ai plus qu'eux comme certitude, il va falloir m'habituer
J'ai découvert les liens visibles et les plus solides du monde
Les enfants, c'est des galères qu'on ne pouvait même pas concevoir
Ils nous rendent complètement ouf, mais en un sourire on vacille
T'as qu'une envie, c'est qu'ils s'endorment et dès qu'ils dorment tu veux les voir.
Eh ouais, on est devenus ceux qu'on chambrait
Je crois qu'on a le sens de la famille
Et le sens de la famille, c'est aussi le sens de l'amitié
Je peux te présenter des frères et sœurs qui n'ont pas le même sang
Frères d'espoir, sœurs de cœur, de galère ou de quartier
Faire de projets d'adultes dans des cerveaux d'adolescents
La famille, c'est aussi ceux qui sont devenus essentiels
Ceux qui te connaissent, te révèlent, te soutiennent et te protègent
Ceux qui te parlent la bouche fermée parce que le cœur s'emmêle
Si tu veux signer avec moi, faut signer avec tout le cortège
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Calogero - C'était mieux après
https://youtu.be/_1xAj1BGLkw
Finalement une fois qu’on l’a fait
On s’est aperçu qu’en effet
C’était mieux après
Combien d’amours ratés par heure ?
Combien d’instants loupés par peur ?
Parce qu’on ne se sent jamais prêt ?
A tout remettre au lendemain
Les mots les courriers ou les trains
On devient nos propres barrières
A force de trop hésiter
A force de tout éviter
L’occasion va passer
On s’empêche d’avancer
Finalement une fois qu’on l’a fait
On s’est aperçu qu’en effet
C’était mieux après
La peur est une sale habitude
Qui fait du pire une certitude
De tous nos projets, des regrets
Le doute est une contrefaçon
Qui déguise les « possibles » en « non »
Et tous les « plus tard » en « jamais »
À force de trop hésiter
A force de tout éviter
L’occasion va passer
La passion va casser
Et finalement tu t’es lancé
Sous la pluie tu l’as embrassée
Et c’était mieux après
Demain est un joli pays
À chaque minute tu le franchis
Et chaque seconde est une frontière
La nostalgie est une manie
Qui fait d’hier un aujourd’hui
Elle met ta vie en marche arrière
Et on se noie dans des verres d’eau
À trop tourner autour du pot
On pourrait s’il le faut
Repartir à zéro
Finalement une fois qu’on l’a fait
On s’est aperçu qu’en effet
C’était mieux après
Combien d’amours ratés par heure ?
Combien d’instants loupés par peur ?
Parce qu’on ne se sent jamais prêt ?
A tout remettre au lendemain
Les mots les courriers ou les trains
On devient nos propres barrières
Et on se noie dans des verres d’eau
À trop tourner autour du pot
On pourrait s’il le faut
Repartir à zéro
Quand finalement tu t’es lancé
Ta vie tu l’as recommencé
Et c’était mieux après
Oui finalement tu t’es lancé
Ta vie tu l’as recommencé
Et c’était mieux après
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Grand corps malade - Pocahontas
On a d'jà lu les premiers mots les premiers rires déclenchés,
Les premiers pas, les premières courses, les premiers genoux écorchés
Les premières photos à quatre, les premières crises de cauchemar
Les premières nuits pointillées, les premiers vices de couche tard
On a encore les mémories et les parties de domino
Des jouets qui font trop de musique, et les matins trop matinaux
Les journées de taf raccourcies, l'ultimatum de 16h30
Et les promenades au parc tous les jours où ça leur tente
On continue de s'émerveiller devant un dessin de cosmonaute,
Ou un bonhomme pâte à modeler avec un bras plus grand que l'autre,
On continue d'vouloir filmer tous ces moments insensés
Qui n'reviennent plus jamais dès lors qu'le film est lancé
On a eu les premiers hostos, les inquiétudes, les premières peurs,
Les premières grosses engueulades et les punitions à contre cœur
Les premiers cadeaux débiles avec leur nom sur leur tasse,
Les siestes d'un œil sur l'canapé en regardant Pocahontas………
On attend sans impatience, les premiers devoirs à la maison,
Les premiers stress de contrôles, les boules au ventre à l'horizon
Les premiers mots dans le carnet pour les tarés quand ils s'amusent
Les premières mauvaises notes, pour les carrés de l'hypoténuse
On r'doute un peu quand même le cartable de 20 kilos,
Cahiers à spirales, intercalaires, trousse qui déborde de stylos
Et puis y aura premier portable, les premières boums, premières soirées,
Les premières peines de cœur, premier rencart un peu foiré
Ce sera un peu l'moment de toutes les grandes premières fois,
Les premières cuites, les premières nuits qu'on ne nous racontera pas
On les r'gardera agir avec un pincement au cœur
Car de leur vie on deviendra de plus en plus spectateur
Y aura la première fois moins de 5 fautes au code de la route
Qui leur permettra de s'éloigner encore plus vite et puis sans doute
Suivra leur premier appart avec une Pocahontas bien élancée
Ils reviendront vider leur chambre, ça j'ose même pas y penser
Il nous rest'ra ça je l'espère, ce sentiment essentiel
De les avoir bien préparé à cet immense bordel
Il nous rest'ra ça j'en suis sur, cette indicible joie
De les voir courageux, bien épanouis dans leurs choix
Il nous restera une maison avec une ou deux chambres en trop
Retrouvant le statut de jeune couple en perdant celui de parents pro
Il nous restera à regarder devant en appréciant ce qu'il y'a derrière
Prendre pleins de photos de demain, pour compléter celles d'hier
Et puis les chambres en trop seront à nouveau amochées
Par la nouvelle génération des premiers genoux écorchés
Le cycle jouera son rôle implacable et fatidique
Et on retrouvera des jouets modernes qui feront toujours trop de musique
Au milieu des nouveaux cris on s'dira qu'on a réussi
À fabriquer ce manteau, qui nous protège la vie
Ce confort impalpable, ce tremplin, cette béquille
Ce miracle anodin, on a fait une famille
Et avec mes p'tits enfants et la télé juste en face
J'me vois bien faire une bonne sieste
Pourvu qu'ce soit Pocahontas
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Grand Corps Malade et Alicia - Enfants du désordre
https://youtu.be/6Kz5KSj0jX0
Il regarde son décor s'enfoncer dans la nuit
Il fait froid, il est tard mais il ne rentre pas chez lui
Tout au fond de son regard il ne fait pas ses douze ans
Alors de faire ses devoirs, il pense à faire de l'argent
Sa vie est agressive alors il le lui rend bien
Il s'est battu de nombreuses fois il ne sait plus combien
Il a grandi trop vite loin des histoires à l'eau de rose
Il a vu son voisin se faire planter pour une dose
On a enlevé l'innocence de son propre logiciel
Et au-dessus de son immeuble il n'y a pas souvent d'arc en ciel
A l'âge où les autres jouent, lui il se défend
Au milieu du désordre il n'a plus le temps d'être un enfant
[Alicia]
Sombre le monde quand on voit qu'une seule partie
Il ne sait pas dire à quel point il souffre
Sur le chemin il a croisé des navires
Qui sont tombés bien trop bas dans le gouffre
Il compte plus les heures seul
On lui a dit juste tais-toi et bouffe
Dans la cité rien ne lui glace le sang
Pour lui il n'y a ni après ni avant
Il n'a pas connu l'état d'être enfant
Et il compte plus les heures, seul
Oh oh oh
(seul, seul)
Tais-toi et bouffe
[Grand corps malade]
Il regarde son décor s'enfoncer dans la peur
Y a des cris dehors, il connait ça par cœur
A 20 minutes de chez lui, les beaux quartiers s'allument
Il n'a connu qu'la misère et ses reflets dans l'bitume
Son espoir s'est usé dans une cage d'escalier
Sa part d'ange s'est fanée au quatorzième palier
A trainer avec les grands, il en perd son âge
Il est presque né violent, c'est pas un personnage
Son père est trop absent, sa mère est dépassée
Il passe le temps à faire le gai devant le bâtiment C
Avant d'apprendre à sourire, il a appris à mordre
Il est parmi tant d'autres un enfant du désordre
[Alicia]
La violence est une rancœur qu'on a laissé grandir
Une colère prisonnière qui ne veut plus partir
Oh oh oh
Les enfants du désordre ne savent que se défendre
La société les juge avant de les entendre
Oh oh oh oh
Tais-toi et bouffe
[Grand corps malade]
Il regarde son avenir s'enfoncer dans l'impasse
Aucun projet en vue, les questions qui s'entassent
Il regarde la vie des autres pour oublier ses drames
Sa vie à lui ne ressemble pas aux stories d'Instagram
Il n'est pas malheureux puisqu'il ne cherche pas le bonheur
A qui la faute s'il n'a pas les mêmes chances qu'ailleurs
La faute à sa cité, la faute à pas d'chance
La faute au manque d'argent, la faute à la France
La faute au manque d'illusion, au fatalisme rampant
La faute à l'état français qui ferme les yeux depuis trente ans
La faute au manque d'horizon, la faute aux grilles tout autour
Au manque de considération, la faute au manque d'amour
(oh oh oh)
Au manque d'amour
[Alicia]
La violence est une rancœur qu'on a laissé grandir
Une colère prisonnière qui ne veut plus partir
Oh oh oh
Les enfants du désordre ne savent que se défendre
La société les juge avant de les entendre
Oh oh oh oh
Tais-toi et bouffe
Texte un peu utopique mais tellement vrai.....
Respect des organisateurs
de sorties
Nous tenons à faire une nouvelle fois un rappel qui semble nécessaire : l'inscription à une sortie EST UN ENGAGEMENT que vous prenez vis-à-vis de la personne qui organise la sortie, et qui y a consacré du temps et de l'énergie.
Nous invitons donc chacun(e) à prendre conscience qu'organiser une sortie nécessite du temps, et qu'un organisateur qui vous propose une sortie a donc pris sur SON temps libre pour que VOUS puissiez ensuite passer un bon moment, une bonne journée, parfois même une bonne semaine.
En cas de comportements déplacés, d'absence aux sorties ou de désinscriptions fréquentes, voici la réponse la plus simple :
- Pour l'organisateur : mettre les membres indélicats en liste noire (elle est faite pour ça). Ils ne verront plus vos sorties.
- Pour le participant qui n'est pas satisfait de l'organisation : encore plus simple... il lui suffit d'organiser lui-même

L'autre solution, c'est que chacun prenne conscience que sans organisateurs, il n'y aura plus de sorties. Autrement dit, le respect des organisateurs est essentiel. Cela semble évident, mais un rappel semble malgré tout nécessaire.
N'oublions pas que, sans les organisateurs de sorties, OVS n'existerait pas.