« Au programme ? »

Eh bien, que du beau !

C'est parti ! :

         " Goutte "

De quoi s'agit-il ?

                   LUNDI 22 MAI 14H 

        " Goutte "

Une création de la Compagnie Adèle et le squonk.

Sortie de résidence dans le cadre du dispositif des résidences accompagnées portées par l'Entre-Pont avec le soutien de la DRAC PACA.

Entrée : Sur participation libre

Adhésion Public : 3€ (valable pour l'année civile en cours)

La Compagnie Adèle et le squonk vous propose d’assister à leur première sortie de résidence pour la création : Goutte 

“"Goutte” est une adaptation scénique poétique et visuelle de l’oeuvre éponyme de Pascale Breysse

À travers les mots et les illustrations de l’autrice et illustratrice, le spectacle donne vie à une goutte d’eau et raconte son incroyable parcours initiatique, depuis la création du monde jusqu’à l’évolution de l’être humain…

Venez vous joindre à nous pour cette expérience unique où la poésie et la sensibilité vous emmèneront dans un monde de découvertes et d’émerveillement.

En attendant : 

Faire des produits de santé un bien commun mondial

Limiter la privatisation médicale

 La pandémie de covid-19 n'était pas terminée au moment d'écrire ces lignes. Néanmoins, la plupart des États sont passés à une approche où il faudra vivre avec ce virus qui mute, quitte à offrir des vaccins aux personnes à risque et volontaires. Ainsi s'amorce une réflexion sur cette pandémie d'importance qui a été plutôt mal gérée. En fait, alors que la crise était mondiale, les solutions comme la vaccination répondaient encore à des logiques de marché. Bien des pays africains ou d'Amérique du Sud ont tardé à obtenir les remèdes, alourdissant leur bilan.

Alors, quelle serait la réponse quand une autre pandémie arrivera? L'Agence Française de Développement a organisé une table ronde afin que différents intervenants donnent leur avis sur la question. De ces échanges ressort un constat clair : il est temps que les produits de santé entrent dans le bien commun mondial. Une idée encore plus cruciale dans une crise qui fait des morts et touche autant de gens.

La difficulté sera que se modifie philosophie des pays comme les États-Unis ou l'Union européenne qui ne veulent pas nuire à leurs chercheurs. Ces derniers étant déjà peu payés, la question d'une rémunération publique permettrait par contre d'obliger les laboratoires à participer au bien-être global. Cela n'empêcherait pas des redevances liées aux brevets mais ils ne pourraient plus faire chanter des pays mal en point.

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