
JANVIER
Ecrivain, scénariste et réalisateur,
Jean-Baptiste Andréa a reçu le prix Goncourt en 2023 pour son roman Veiller sur elle paru aux éditions de l'Iconoclaste. L’histoire d’une rencontre bouleversante entre Mimo, un génial tailleur de pierre, et Viola, une prestigieuse héritière.
➤ Jeudi 30 janvier, 18h30
Jean-Baptiste Andréa
RESPECT CGU
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à suivre....
Les Livres qui ont marqué l’année littéraire
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Tina Barney, Family Commisson With Snake
Une découverte étrangère : Les Détails de Ia Genberg |
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Et si c’était cela le pouvoir des grands livres, convoquer les souvenirs, se remémorer parfaitement l’instant où l’on a dévoré leur page. Pour l’héroïne de Ia Genberg, c’est la relecture de La Trilogie New-Yorkaise qui va précipiter un voyage dans le temps ébouriffant. Clouée au lit, fiévreuse, elle se replonge dans l’œuvre de Paul Auster et voit débarquer les fantômes de sa vie d’avant. Sa vingtaine dans les années 90 et ces quatre rencontres qui ont marqué à tout jamais sa vie. |
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Déambulation intime et touchante d’une jeune femme gagnée par la mélancolie : Les Détails rappelle par moments le film de Joachim trier, Julie en douze chapitres et résonne en écho avec Mon année de repos et de détente d’Otessa Moshfegh. Dans une grande fresque vintage, la romancière salue avec nostalgie cette dernière décennie sans internet, où les relations humaines était passagères, fiévreuses, instables et donc forcément inoubliables.
Une non-fiction : Le Voleur d’art de Michael Finkel |
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Après s’être élancé dans Le Dernier Ermite sur les traces de Christopher Thomas Knight, un homme ayant décidé de vivre en ermite dans une forêt du Maine pendant 27 ans suite à la catastrophe de Tchernobyl, le journaliste Michael Finkel s’est dégotté une nouvelle cible de choix. "L'Arsène Lupin des musées", voilà comment on a surnommé Stéphane Breitwieser, le protagoniste bel et bien réel du Voleur d’art. |
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Entre 1995 et 2002, l’Alsacien, fils du peintre Robert Breitwieser, aurait dérobé plus de 200 œuvres d’art à travers l’Europe à la seule arme de son culot, de son sang-froid et de son observation méticuleuse des systèmes de surveillance des musées. Avec son long manteau et son couteau suisse, il lui suffisait d’une seconde pour s’emparer d’une toile. Grâce à un long travail d’enquête mais surtout en rencontrant à plusieurs reprises l’auteur des faits, Michael Finkel raconte l’histoire hors du commun d’un voleur pas comme les autres qui justifie ses crimes par un amour débordant pour l’art. |

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